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L'été persiste sur les territoires Temporaliens, pour le plus grand plaisir des loups habitant ces terres. Uniquement chez les Améthystes, la chaleur n'est pas au rendez-vous, et les températures ne dépasseront pas les 20°C. Pour tous les autres territoires, soit les Saphirs, Rubis, Émeraudes et Diamants, les températures dépasseront largement le seuil des 30°C, alors ne restez pas exposés au soleil trop longtemps!
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Il est temps d'entrer chez les Opales. [Anarion]

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MessageSujet: Il est temps d'entrer chez les Opales. [Anarion] Il est temps d'entrer chez les Opales. [Anarion] I_icon_minitimeDim 24 Fév - 13:42

    Tandis que le soleil commence sa tumultueuse escapade, jusqu'en haut du ciel. Un loup au pelage sombre se confond encore avec les coins obscures de la nature. Le bêta Opale était déjà en route, prenant la direction du territoire des Rubis. Depuis plusieurs mois, Cleithos exerce ce même trajet dès qu'il le peut. Il y avait chez les rubis, quelques chose de très important pour lui. Bridgess, une louve qu'il avait rencontré sur les terres Opales et qu'il avait tenté de chasser. Faisait partit de cette meute, et lors de leurs rencontre, elle fut abusé du loup noir, malgré qu'il avait tant lutté pour ne rien faire. Par la suite de ça, les deux loups ont apprit à se connaître, et finalement apprit à s'aimer. Peu de temps après, deux petits louveteaux ont montrés le bout de leur nez. Anarion, aîné de la porté et petit mal intrépide voulant suivre tes pas. Idylle, petite énergique mais un peu peste sur les bords. Tu étais là le jour de leur naissance, et tu ne savais pas trop quoi faire, pour toi tout était si nouveau. Toi qui n'avais jamais connu le sens réelle du mot famille, et encore moins de celui de l'amour. Par chance ta compagne t'avais appris la douceur et le bonheur de partager de doux moments avec tes petits et elle. Depuis tu es heureux, de ce que tu as engendré avec Bridgess. Tes petits sont magnifiques, et sont l'une de tes grandes fiertés.

    Mais en ce beau jour, tu n'y allais pas juste pour passer un petit moment agréable avec eux. Non, aujourd'hui c'était bien plus sérieux. Tu venais chercher ton fils, Anarion pour l'emmener à tes côtés chez les Opales. Tu en avais déjà parlé avec Bridgess, tu comptais lui laisser les petits jusqu'à ce qu'ils soient en âge de ne plus téter. Par la suite, tu emmènerai tout les mâles avec toi pour commencer leurs dur entraînement. Tu allais faire d'Anarion un loup puissant, et tu lui apprendra toutes tes petites techniques de combats, celles qui t'ont toujours faites gagner. Tu n'espérais qu'une chose, c'est que ce petit ne suive pas tes traces au niveau du mental. Certes, avoir le coeur aussi noir que les ténèbres sa aide à détester et amplifier sa soif de vengeance. Mais il y a aussi le risque de ne jamais connaître famille et bonheur. Ce phénomène, tu l'observais sur Noctis, le fils de ta fille adoptive, Ziva. Ce petit aura le coeur bien plus noir que le tiens, il sera incapable d'aimer. Son esprit sera bien plus tourmenté que le tiens, au point qu'il en perdra toute raison et s'engouffrera dans la folie. Tu redoutais que Noctis influence Anarion lorsque tu le ramèneras, mais tu veilleras à ce que cela n'arrive pas. Même si fréquenter Noctis pourrait lui montrer ce qu'est la réelle haine, tu ne voulais pas que ton fils devienne aussi tueur et assassin. Noctis adulte, ne fera plus aucunes différence entre famille et ennemis....

    Perdu dans tes pensées, tu ne remarques même pas que tu es arrivé sur les terres Rubis. Pile à l'endroit que tu le souhaitais. Te voilà au bord du lac de sang, ce même lieu où tu as retrouvé Bridgess avec le ventre bien rond. Ce même lieu où elle t'as annoncé que tu allais être père, ce lieu où vous avez apprit à vous connaître et où la douceur à commencer à s'installer. Cet endroit signifiais beaucoup pour toi, et c'était à cet endroit précis que tu allais annoncer à ton fils, qu'il partait avec toi chez les Opales. De ton regard océan tu recherches une place tranquille à l'ombre. La repérant, tu vas ensuite t'y installer confortablement, pour ensuite attendre sagement. Camouflé dans les buissons, personnes ne peut te voir, tu pourrais attaquer par surprise dans une telle cachette. Mais tu n'étais pas là dans le but de tuer. Anarion est un petit qui ne tiens pas en place, au cours de la journée il est forcément obligé de passer par là. Ce petit aime trop découvrir les choses seul, tu n'as qu'à attendre Cleithos, ton fils va venir de lui même...
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MessageSujet: Re: Il est temps d'entrer chez les Opales. [Anarion] Il est temps d'entrer chez les Opales. [Anarion] I_icon_minitimeLun 25 Fév - 14:51

Un petit louveteau brun court à toutes pattes sur les territoires Rubis. Hop, il saute maladroitement, du haut de ses trois mois, au-dessus d’un tronc tombé au sol. Youps, il se faufile sous les crevasses pour s’abriter lorsqu’un Gardien passe par là. C’est qu’il est vigilent, notre petit bonhomme. Depuis deux mois, il a pris l’habitude de se sauver et de ne pas se faire piéger par les rondes incessantes des gardiens et traqueurs rubis. Mêmes les protecteurs et les nourrices parviennent difficilement à le garder entre leurs pattes. A chaque regard détourné, notre petite fripouille se faufile et disparait de leur champ de vision durant plusieurs heures.
Aujourd’hui, c’est le cas une nouvelle fois. Cette fois, notre petit bout de chou à décider de se rendre… Près du lac ensorcelé ! Eh oui, il est curieux notre petit Anarion. Et il a décidé de découvrir tout le territoire de sa meute. Mais assez détaillé la scène, laissons notre petite canaille nous expliquer ce qu’il a en tête.
Ouai ! T’as raison ! Laisses-moi raconter ma vie ! Donc, je partais pour le lac ensorcelé. Pour quelle raison ? Bah, vous savez pas lire ? On vient de vous le dire ! Je veux découvrir tous les territoires de ma meute TEMPORAIRE. Ouai, l’a oublié de vous préciser, la p’tite voix. Ben oui quoi, je ne compte pas m’éterniser parmi la meute Rubis ! J’ai de l’ambition, moi. Beaucoup d’ambition. Et quand je serai plus grand, je rejoindrai mon père. Je deviendrai un véritable Opale et je ferai la rencontre de plein de loups et louveteaux avec le même tempérament que moi. Quand j’y pense, qu’est-ce que je suis impatient !
Lorsque j’ai vu mon père à la Réunion des Meutes, je mourrais d’envie de traverser l’assemblée pour le rejoindre et rester à ses côtés pour toujours. Ben ouai, pour moi, ses visites ponctuelles ne sont jamais suffisamment longues. On peut juste jouer un peu et ensuite, pfuit ! Il repart de son côté ! C’est injuste. J’aurais voulu que mère soit une opale. Au moins, on aurait pu rester près d’eux toute notre vie et apprendre à leurs côtés. Au lieu de ça, j’étais forcé de me contenter de rester chez les Rubis, avec des loups qui savaient à peine se montrer sadiques et tordu d’esprit, et je devais attendre d’être assez grand pour prendre ma propre décision et quitter la meute. Oh, jamais je n’aurais l’idée d’abandonner ma mère et mes sœurs présentes chez les Rubis, mais je voulais plus que tout, découvrir le monde entre les pattes de mon père. C’était, à mes yeux, lui le plus grand et le plus fort de tous les loups. Je voulais être digne de son sang, et montrer mes capacités pour qu’il soit définitivement fier de moi. Pour toujours.
J’avançais donc à toutes pattes, me dirigeant à l’odeur vers ce lac à la sinistre réputation. J’avais entendu parler de cadavres sanguinolents, flottant à sa surface. On disait que les louveteaux détalaient devant les horribles restes lupins qui traînaient là-bas, et que l’odeur y était si répugnante que même les adultes se révulsaient à s’y rendre. Pourtant, j’avais décidé sans la moindre hésitation que je voulais visiter cet endroit, désireux de savoir si j’avais plus de tolérance aux visions morbides que mes acolytes Rubis.
Et je ne me trompais pas sur ce point, visiblement.
Lorsque j’arrivais près du lac, l’odeur m’allécha plus qu’elle ne me dégoûta. Elle m’impatienta, j’avais hâte de connaître ma toute première mise à mort et j’espérais que ce jour-là, père serait là.
Inconscient du danger qui rodait ou plutôt m’attendait, je m’avançais jusqu’au bord de l’eau et m’émerveillais devant tous ces morceaux de loups et tout ce sang qui possédait un nombre incalculable de propriétaires. Les yeux brillants d’excitation, je plongeais ma patte dans le sang et le reniflais plus encore, puis j’attrapais quelque chose qui flottais près du bord et le sortais de l’eau pour constater qu’il s’agissait d’une pette, ou du moins de ce qu’il en restait. La chose craquait à chaque mouvement et je commençais alors à la manipuler encore et encore, me régalant de ce son sordide.
Finalement un bruit discret mais pas moins présent et étrange me fit tourner la tête. Dans l’ombre d’un arbre, une grande silhouette me regardait. Je ne le reconnaissais pas tout de suite et me levais, curieux et prêt à me battre plutôt qu’à détaler. Je préférais mourir sous des crocs adverses que de me réfugier dans les pattes de mère et de pleurnicher comme la plupart de ces vauriens de louveteaux sans honneur. J’étais fier de mon sang, de ma famille et de mes origines. Pour rien au monde j’aurai supplié un ennemi de me laisser la vie sauve, même âgé seulement de trois mois. Lorsqu’on est le fils d’un grand loup, l’on se doit de montrer de quoi on est capable et ce, à n’importe quel âge de notre vie. Que j’ai trois mois ou quinze ans ne changeait rien ma perception de l’honneur, et je tenais au mien plus qu’à n’importe quoi d’autre. Alors, debout face à l’intrus, je m’approchais sans crainte et montrais les crocs prêt à foncer pour attaquer et probablement, mourir ici-même, à l’âge de trois mois.
Je ne lui demandais pas son identité, je m’en moquais et le reconnaîtrais ou pas, bien assez tôt. Si je devais l’attaquer, je n’avais pas besoin de connaître d’avance le nom de celui qui prendrait ma vie. Père n’aurait aucun mal à le retrouver pour lui arracher les yeux, les dents et les griffes.
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