Kiba était très satisfait de lui, il avait enfin réussis à se faire un repas digne de se nom. Rassasié, il avait décidé de faire une sieste dans la tanière des lapins, maintenant abandonné puisque ses propriétaires avaient finit dans le ventre du loup blanc. Une fois bien reposé il continua sa route et franchit la frontière du Territoire Diamant, perdu dans ses pensées il marcha longtemps s’en faire attention où il allait. Il s’arrêta quand sa patte pris contacte avec de l’eau plus que glacé, un frisson le parcourue le corps tout entier. Il était au Lac de Reflets, qui gèlera certainement d’ici quelques jours, où la soif le pris donc, il se désaltéra vite fait avant de reprendre sa marche tranquille. Le soleil qui était bien haut dans le ciel était descendu bien bas, la température baissera beaucoup et ce n’était que le début de la mauvaise saison qui promettait d’être sacrément froide… Arrivé à l’orée du bois il scruta la Prairie aux couleurs, une étendue blanche qui s’étendait sous ses yeux, personne à l’horizon.

Assis au bord de la clairière Kiba admirait paisiblement le paysage quand une boule de poil, blanche elle aussi, attira son attention ; bougeant avec frénésie d’une vivacité étrange. Intrigué le loup blanc s’avança à pas de loup vers le mouvement, il se demandait qui pouvait bien être cette étrange animal pour gesticulé comme ça. Si cela pouvait être une délicieuse proie pris bêtement dans un trou ou autre se serai génial, hélas ce n’était qu’un de ses semblable au sol en train de faire quelque chose de bizarre. Quand seulement quelques pas laissait la distance entre lui et la mystérieuse louve hyperactif qui maintenant était calmement posé à faire sa toilette, perdu il s’assit là et regarda la femelle se lécher le corps avec délicatesse. Ses courbes étaient belles et régulières, toutes les louves devraient être comme ça se dit-il aussitôt ; les louves n’étaient bonne qu’à servir les mâles, à procréer et élever les louveteau. Pour la chasse les mâles sont plus efficace et défendre le territoire n’en parlons pas elle ne pense qu’à discuter de louveteau et température… Toujours en la regardant Kiba se demanda si il allait passer un peu de bon temps histoire de garder la forme, on verra la tournure que prend les événements.

La louve blanche c’était rapprocher et assise docilement devant Kiba, qui se voyait déjà refuser une longue et agaçante discussion sans aucun intérêt. Il se demandait que pouvait faire une jolie créature comme elle toute seule dans cette vaste prairie, peut être attendait elle l’arrivée d’un mâle, comme Kiba, pour se réchauffer pendant un petit moment. Le loup blanc se posait beaucoup de question et imaginait des situations toutes très aguichante.

-Moi c'est Kimi, et toi c'est quoi ton nom ?

Kiba lâcha un soupir intérieurement, toujours et encore cette phrase de politesse qui l’agaçais fortement ; mais il savait bien cacher se genre de sentiment. Il se contenta de hausser les épaules, quel importance pour une rencontre d’un soir ? Et puis le tutoiement direct n’est pas une forme d’avance rapide ? Il remarqua aussi que la distance qui les séparait était plutôt proche pour deux inconnus, les envies du loup blanc n’étaient que plus fleurissantes. Quand elle sera prête je la laisserai sur sa faim, pensa-t-il ; il était vraiment impatient de commencer son petit manège. Il médita un petit moment, autant le lui dire, après tout elle voulait savoir son nom alors elle l’aura. Kiba avança au point de toucher la femelle, pencha sa tête suffisamment pour que sa gueule atteigne l’oreille de la dénommé Kimi et prépara à faire sa voix chaude, douce et ténébreuse :

- Kiba

Le loup blanc profita d’avoir la gueule aussi près de la louve pour lui lécher l’oreille délicatement ; savourant sans retenu sa délicieuse odeur.

Kiba aimait ses petit jappement féminin accompagnée par cette queue remuante, quand Kimi l’avait mit a terre pour un câlin il resta un peu perdu. Il faut être en manque ou bien stupide pour avec autant de tendresse fasse à un quasi étranger. C’est vrai, les câlins ce n’est pas ce qu’il aimait le plus, il aurait préféré des caresses. Le loup bien savais bien qu’il ira jusqu’à son but, elle n’avait pas l’air très maline celle-là, ni la plus bête pour autant même si elle n’en est pas très loin. Il en ferra ce qu’il veut et avec un grand plaisir, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas eu envie d’abuser de la naïveté d’une louve histoire d’avoir un peu de compagnie et de se marrer un bon moment.

-T'es gentil Kiba.

Moi gentil ?! pensa-t-il surpris. Je vais lui faire passer l’envie de me dire des choses pareilles. D’un coup il se retourna et arriva sur la belle louve où il s’allongea de tout son poids sur elle. L’admirant de tout son long il se demandait bien par où il allait pouvoir commencer, les oreilles ? Le cou ? Le museau ? Les pattes ? Redescendre jusqu’à la queue ou l’arrière train ? Voulant profiter de la situation un maximum il la plaqua bien au sol, pour ne pas qu’elle s’échappe, et bien contre lui ; se pencha et décida finalement de commencer à mordiller doucement le cou de la blanche Kimi. Toujours en s’enivrant de son odeur corporellement savoureuse. La nuit venait d’arriver et son ami vent glacial était au rendez-vous, mais ce n’est pas ça qui perturbera le petit jeu Kiba, bien trop amusant pour arrêter à cause d’un froid comme celui-là.

Kiba ronronna en réponse à la léchouille de la louve, de l’affection voilà ce qu’il désirait ; des bisous, des mordouilles, des câlins mais au moment fatidique plus rien. A moins que des envies plus profondes n’émergent entre temps et s’en part du contrôle du mignon petit loup blanc. Il ne c’était plus amusé depuis l’automne et n’avait pas fait des choses très intéressante depuis le printemps, la saison la plus chaude de l’année, il ne se souvenait même plus des chanceuses de cette période.

Tout en continuant à mordiller le cou de Kimi il descendit petit à petit, toujours maintenant bien la louve au sol, il serait dommage de la laisser filer à un moment pareille… Cette petite est vraiment stupide pensa-t-il en lui léchant les mamelles avec avidité. Le loup blanc savait que rien ne l’arrêterais même pas une biche bien dodue ou des loups venant visiter la prairie, par se froid pas grand monde serait là de toute façon. Comme avec toutes les autres Kiba s’y prenait de la même façon et aucune n’a résister, il en viendra à bout avec cette même satisfaction. Après une légère pause pour ré-humidifier sa langue il continua à la passer méticuleusement sur les tétons de Kimi avec assistance. Il s’amusait beaucoup trop et ne voulait pas arrêter maintenant, si loin de se proche but. Ses petit jeux consistait surtout à faire tout oublier à Kiba, ne plus penser à ses malheurs, sa solitude, ses problèmes, sa famille inconnue certainement morte depuis le temps… Derrière ses grands airs de profiteur Kiba était tout triste mais il le cachait tellement bien que personne ne le sera jamais. La truffe toujours dans la louve il remarqua que son joujou aussi commençait à vouloir voir du monde.

Toujours la langue contre les mamelons de sa victime, quand il entendit les couinements de sa victime son amusement n’était que plus grand. Il en avait eu quelques une de conquête jusqu’au bout, mais il avait fait extrêmement attention à ne pas avoir de louveteaux par la suite, ceci ne l’intéressais pas du tout pour le moment.

-Arrête !

Quand Kimi commença à se tortiller dans tout les sens Kiba le maintenant plus fort au sol pour être sur qu’elle y reste, malgré sa petite taille il dominait largement la louve blanche sans défense. Toute cette excitation ne faisait qu’encourager le loup banc à aller plus loin, à croire qu’elle faisait exprès de paniquer pour qu’il se décide enfin à passer à l’action. Se serais quand même une drôle d’idée de ça par mais il ne refuserait pas cette possibilité, au contraire, même si c’était beaucoup plus jouissant quand la femelle se débattait. Kiva avait déjà eu à faire avec une louve qui se débattait mais elle n’a fait qu’engendrer et accélérer son viole…

Le fait que la louve grognassait faiblement ne faisait que de l’exciter encore plus, au départ il se demandait si il allait aller jusqu’au bout ou pas mais vu comment elle réagissait il se dit qu’elle faisait tous pour qu’il choisisse vite et bien. Assez palabrer, allons aux choses sérieuses… Que la louve ça contre ou pour elle aimerait quand même ce que lui ferrait le mâle ; sans plus attendre et pour lui faire comprendre radicalement qu’il est le plus fort Kiba enfonça sa patte et lui griffa les tétinettes. Se repositionnent bien sur la louve il commença à se frotter contre elle de façon turpide. A se moment là il était quasi sur qu’il ira jusqu’au bout et la laissera la seule dans le neige pour disparaitre et retrouver sa solitude une fois de plus, comme d’habitude. Il se fichait pas mal que pouvait ressentir la louve pendant et après, il n’avait toujours pas recroiser un de ses anciennes proies et s’en moquait bien, cela le rendait très indifférent.

Kiba s’amusait beaucoup, même avec la chaleur qui se dégageait des deux corps il faisait froid se qui le décourageait vaguement à aller plus loin ; il se faisait très tard et il gèlerait sur place si il n’allait pas trouver un abri pour le reste de la nuit. Kimi réussi malgré tout à se retourner sur le ventre, le loup prit alors ceci comme une invitation au passage à l’acte. Il ne voulait pas lui faire plaisir, au contraire la dégouté au moment fatidique et se marré un bon coup. Il c‘était très bien distrait et avait d’autre chose à faire, néanmoins il voulait écoeurer la blanche brebis jusqu’à la fin. Pour aguicher la louve à la faire couiner il se frotta encore contre la louve mais à un autre endroit ; jusqu’à ce qu’il lui tache son petit derrière. Le vilain mâle rigola et descendit de la louve en là poussant dans la neige. S’il avait eu le ventre plein il aurait fait de même avec la louve du cimetière, elle aussi était belle ; il avait oublié le bien que cela pouvait lui prodiguer, il se sentait supérieur. Tout content il regardait avec un grand sourire taquin la louve en remuant la queue, en espérant qu’elle ne soit pas heureuse du tout ; il avait envie de lui dire ce qu’il pensa dans sa tête : Alors, je suis toujours aussi gentil ?! . Encore aveuglé par l’enthousiaste et la ridiculiser encore plus de la femelle il lui lécha le museau et lui lançant d’un air moqueur.

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