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Wolf Temporal
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L'été persiste sur les territoires Temporaliens, pour le plus grand plaisir des loups habitant ces terres. Uniquement chez les Améthystes, la chaleur n'est pas au rendez-vous, et les températures ne dépasseront pas les 20°C. Pour tous les autres territoires, soit les Saphirs, Rubis, Émeraudes et Diamants, les températures dépasseront largement le seuil des 30°C, alors ne restez pas exposés au soleil trop longtemps!
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Sujet: Black Sky above Us - l'histoire de Caleb ! Sam 30 Mar - 16:39
Black Sky above Us - Lorsqu'il devient compliqué de faire table-rase de ses Origines
♣ Synopsis ♣
Ethan est un adolescent anormal ; il sent qu'il n'appartient pas a l’espèce humaine, qu'il détient un petit quelque chose différent d'eux. Pourtant, il n'as jamais pu savoir quoi : en effet, ses Parents sont tous deux morts a sa naissance, et jamais personne n'a pu lui dire qui ils étaient réellement. Le jeune homme, installé depuis plusieurs années déjà a Paris, vit de rackets et de violence, et continue a vivre en ignorant ses Origines. Pourtant, un beau jour, une belle jeune femme nommée Evannah va tout faire pour le forcer a rester en sa compagnie, pour le protéger. Peu de temps après, le jeune homme se fait agresser par Duncan, l'un des Seigneurs Démoniaques peuplant les Enfers, qui l'informe alors de sa véritable identité. Ethan devra faire un choix décisif.
Dante
The Girl who will beat your Ass ♪
Avertissements : Messages : 870 Date d'inscription : 02/11/2012 Age : 28
Sujet: Re: Black Sky above Us - l'histoire de Caleb ! Sam 30 Mar - 17:08
♣ Les Protagonistes ♣
Ethan
« Les Nephilim se trouvaient sur la terre en ces jours-là, et aussi après cela, quand les fils du vrai Dieu continuèrent d’avoir des rapports avec les filles des hommes et qu’elles leur donnèrent des fils : ils furent les hommes forts du temps jadis, les hommes de renom. »
Ethan est le personnage principal de cette histoire ; jeune homme a problème, il vit confortablement a Paris, dans un studio miteux. Orphelin de naissance, il n'as jamais connu la véritable identité de ses Parents, ce qui reste un grand mystère pour lui. Aussi bon que mauvais, il vit de violence, vole les gens autour de lui, et les tabassent quelques-fois, submergé par une sorte de pulsion dangereuse. Il fera plus tard la rencontre d'Evannah, une jeune femme séduisante, qui fera tout pour rester dans son chemin, et l'adoucir de tous les moyens possibles. Il rencontrera également Duncan, un des Seigneurs Démoniaques régnant aux Enfers ; apparemment, il intéressait plus d'un dans chaque Monde possible.
Evannah
« Dans l’année où mourut le roi Ouzia, moi, cependant, je vis le Seigneur, siégeant sur un trône haut et élevé, et les pans de son vêtement remplissaient le temple. Des séraphins se tenaient au-dessus de lui. Chacun avait six ailes. Avec deux il tenait sa face couverte, et avec deux il tenait ses pieds couverts, et avec deux il volait. Et celui-ci appelait celui-là et disait : « Saint, saint, saint est l’Éternel des armées. Toute la terre est pleine de sa gloire. » »
Evannah sera une sorte de compagnon de route pour Ethan. C'est en réalité un Archange, une des plus puissantes forces régnant aux Cieux au-dessous des Séraphins. Si elle est descendue dans le Monde Réel, c'est parce que son attention a été attirée par Ethan, qui concentrerait autant de puissance divine que démoniaque ; de son point de vue, il n'est ni l'un ni l'autre, et encore moins Humain. Mais alors, qu'est-il vraiment? Cela fait longtemps désormais qu'elle l'observe ; en effet, afin de pouvoir se matérialiser aux yeux d'un Humain, elle a du d'abord prendre en charge le rôle d'Ange Gardien du jeune homme, pour ensuite pouvoir prendre forme Humaine.
Duncan
« Expression cold and calculating, the archdemon fixed upon a band of the bullmen he had heard called tauren. With an almost flagrant detachment, he tossed aside his adversary as one might discard a piece of refuse ; And if the archdemon believed that the arrival of the Legion’s master was still imminent, that did not bode well for those who had gone to take the Demon Soul and seal the portal. »
Duncan rencontrera Ethan peu de temps après que ce dernier ait rencontré Evannah. Il serait un Archidémon, qui régnerait sur l'un des Douze Territoires des Enfers. Il serait descendu dans le Monde des Humains pour la même raison qu'Evannah : examiner de plus près le phénomène qu'est Ethan. On ne sait pas encore s'il est un ennemi, ou pas ; en effet, il reste distant et plutôt mystérieux.
Dante
The Girl who will beat your Ass ♪
Avertissements : Messages : 870 Date d'inscription : 02/11/2012 Age : 28
Sujet: Re: Black Sky above Us - l'histoire de Caleb ! Sam 30 Mar - 17:14
Chronic I – Be True, Be legendary You
« Je ne prierai pas, les dieux ne peuvent rien pour moi, ce qui se passe dans ma vie ne dépend que de moi. »
Un mercredi après-midi, c'est normalement un jour normal. Selon votre profession, vous vaquez a différentes occupations : la lecture, de Proust a Sartre, en passant par des écrivains et philosophes étrangers. Ces livres délivrent toujours des morales intéressantes, sur comment menez votre vie d'homme normal, ou encore comment percer parmi les plus grands dans l'espoir de se faire connaître du plus commun des Mortels. Vous pouvez aussi décider de boire un café au lait en compagnie de quelques-unes de vos connaissances, installé a la table d'un charmant pub anglais. Ou alors, vous pouvez faire les boutiques, et vous extasier sur les derniers vêtements Chanel ou Dior de la saison. Ces activités sont des activités normales, que tout Humain pratique des millions de fois dans sa vie, comme une singulière habitude de s'attacher a son Territoire natal. Sauf que dans cette histoire, nous ne parlons pas d'une personne normale, oh non ; nous parlons de ce garçon à la tignasse rousse pétante, et au regard ambré et sévère, qui marche parmi la foule comme s'il se débattait dans un banc d'algues.
Il joue des coudes pour disperser la foule, et la fendre en deux, courant a perdre haleine sur la route bétonnée ; dans l'une de ses mains, un porte-feuille en cuir noir, visiblement de haute qualité. A en voir le monsieur en costume-cravate qui le poursuit, cet objet ne lui appartient pas. Pourtant, il ne semble pas regretter son vol : il court comme s'il lui avait poussé des ailes, franchit les avenues en quelques pas seulement. Peu a peu, un sourire carnassier, un sourire de prédateur étire ses deux fines lèvres, qui éclaire son visage aux traits durs et fermés. Il finit par se glisser habilement dans une ruelle sombre et étroite, et se jette derrière une benne a ordure plantée là, échappant ainsi au regard de son poursuivant, qui ne le voyant pas, reprend sa course effrénée dans les rues de la ville, criant et hurlant a tue-tête qu'on lui avait volé son argent.
Le rouquin, toujours planqué derrière la poubelle, se laisse glisser a terre avec un soupir de soulagement, un air satisfait au visage ; il avait gagné la partie, aujourd'hui. Un sourire victorieux toujours collé au visage, il ouvrit le porte-feuille, et sans perdre de temps, commença a compter minutieusement les billets qui s'y trouvaient, sans oublier les pièces de monnaie. Au fur et a mesure qu'il faisait le compte de sa fortune du jour, sa bouche se tordait en un rictus défaitiste, comme il comprenait le peu d'argent qu'il venait de récolter. Il avait pris de grands risques en bousculant cet homme, pour lui voler son argent ; a la vue de son costume soigné et sophistiqué, il avait pensé rafler un sacré pactole. Ce que démentait le contenu du porte-feuille : a peine 40 balles. Comme si ça allait l'aider, une somme si misérable.
Avec un grognement qui en disait long sur son dépit, il glissa les quelques billets verts dans la poche de son jean bleu foncé, avant de jeter d'un geste nonchalant le porte-feuille coûteux au sol ; il fouilla un instant dans sa poche, d'où il sortit un paquet de cigarettes usé, et un briquet dans un tout aussi mauvais état. Il n'était pas idiot ; il savait que le type de tout-à-l'heure risquait fort de poser une plainte contre lui au Commissariat, et que les flics ne tarderaient pas a le retrouver, en opérant un relevé d'empreintes digitales sur le porte-feuille. Il alluma une cigarette, qu'il porta a sa bouche d'un geste naturel, inspirant profondément la fumée grise, qui s'éleva par la suite dans le vide. Quelques minutes passèrent ainsi, en silence, durant lesquelles il fixait d'un regard vide l'objet au sol ; puis, il se pencha en avant pour gratter le briquet près du porte-feuille, qui s'enflamma aussitôt. Il s'écarta de l'objet brûlant, par précaution, et épousseta soigneusement ses vêtements, couverts de boue et autres saletés de la rue, avant de revenir a l'avenue principale.
Il ne se faisait pas simplement passer pour un dur : il en était un, un vrai de vrai. Il fallait avouer que rien qu'au physique, il était capable d'effrayer même un ours ; sa veste de cuir noir couvrait mal un T-shirt blanc, ou figurait en lettres sombres : « Life's a Bitch ». Ses Doc Martens heurtaient le bitume lourdement, le grandissant de quelques centimètres de plus que les autres ; a son oreille gauche, il portait des piercings en tout genre, et a son cou pendait un collier agrémenté d'une croix. Il représentait, a lui seul, tout le vice qui rongeait la Capitale de Paris en 2020 ; il organisait des batailles générales dans les rues, qui quelques-fois, blessait même les passants, brutalisait ses camarades de classe, et gagnait sa vie aux dépens des autres. Il vivait comme une sorte de Parasite : il s'agrippait a quelqu'un, a qui il bouffait toutes les réserves, que ce soit de nourriture ou d'argent, et lorsqu'il n'avait plus rien, il se détachait de son hôte, et s'en trouvait un autre, assez crédule pour le laisser faire. Il avait vraiment tout d'un mauvais garçon, a part qu'il n'en était pas vraiment un, finalement ; il restait le petit dandy des vieilles dames du quartier, qui ignoraient tout de ses activités malhonnêtes, et pensait toujours a passer le Bonjour aux orphelins de la Ville, comme il recueillait dans son studio miteux les bestioles abandonnées qu'il croisait sur son chemin. Disons qu'il était aussi bon que mauvais : une part de Lumière équivalent a celle des Ténèbres.
Les yeux rivés au ciel gris et nuageux au-dessus de lui, il s'imaginait plus léger, plus normal, plus banal. S'il avait été comme ce million de personnes qui déambulaient dans les rues de Paris tout les jours, il ne ferait certainement pas ce qu'il venait de faire. Il porterait des chaussures cirés et lustrées, ferait partie de ce que l'on appelle aujourd'hui la « Jeunesse Dorée », et se payerait, chaque soir, une coupe de champagne, versé dans un de ces hôtels parisiens qui vous coûtaient la peau des fesses. Malheureusement, il était héréditairement anormal, a ce qu'il paraît ; ça ne l'aurait guère étonné qu'on lui apprenne que les médecins, a sa naissance, avaient sortis les crucifix et les colliers d'ails, en priant Dieu de bannir cette vile créature de leur Monde. Son regard retomba sur la ligne d'horizon face a lui, et plus particulièrement sur la Tour Eiffel, qui trouait presque les cieux de sa stature métallique impressionnante ; elle semblait même le narguer, ainsi plantée au sol, comme si elle lui affirmait que jamais elle ne chuterait. Cette Tour avait et resterait très certainement la source de ses problèmes ; ce pourquoi il allait s'arranger pour la détruire. De ses propres mains.
Avec désinvolture, il arracha ses prunelles orangées de la tour de fer, pour remonter la rue principale, entouré d'une foule lourde et dense. S'il se fiait aux innombrables pancartes jaunes accrochées aux vitrines des magasins, aujourd'hui était jour de Soldes. Une chance incontournable pour toutes les femmes chics de Paris, qui se ruaient déjà sur les articles soldés ; un manque de bol pour lui, qui allait devoir faire face a plus de gens que d'habitude. Lui qui détestait déjà, en temps normal, affronter les gens, alors deux fois plus de personnes, c'était vouloir sa Mort. Il détestait les gens ; ça n'avait rien de particulier, ça ne visait personne précisément. C'était une rancune générale qu'il portait en lui depuis longtemps, trop longtemps pour être effacée par les années passées. Même parmi ses camarades de classe, il continuait a ressentir un sentiment de profonde solitude, qui le poussait a les violenter, a les frapper, et a les menacer. C'était uniquement de leur faute : ils étaient toujours prêts a lui offrir une seconde chance malgré le traitement qu'ils savaient qu'il leur réservait. Ces gens étaient dingues, ils avaient tous oubliés leur instinct de survie. Mais pas lui. Alors qu'il ralentissait un bref instant pour lorgner sur des accessoires gothiques, exposés dans une vitrine de boutique marchande, on lui rentra soudainement dedans.
« Aouch ! » s'écria une voix aiguë, aux teintes plus que féminines, et qui provenait de l'inconnu qui l'avait renversé.
Il parvint a garder son équilibre en se concentrant sur la force de gravité reposant dans ses pieds, comme il était habitué a faire, et dévisagea d'un oeil critique la fille qui reposait au sol devant lui, massant sa tête, ou elle s'était apparemment cognée. Bien fait pour elle, soit-dit en passant ; c'est pas lui que ça dérangerait qu'elle meure comme une idiote. La première chose qui attira son attention, ce fut les lunettes noires et rectangulaires qu'elle portait sur le nez, et qui étaient tombées lors de sa chute. Avec cet engin-là, nul doute que c'était une intelllo. Sa tenue du jour se résumait a un short noir, court, si serré qu'il semblait briser sa taille de guêpe ; des collants chair couvraient ses jambes nues, et des converses bleues foncées, aux lacets multicolores chaussaient ses pieds. Bon, niveau godasses, elle gagnait un bon point ; il aimait ce style de chaussures discrètes. Son haut était un débardeur large sans manches, qui laissait a découvert des bras parsemés de bracelets brésiliens. Comme il la fixait longuement, un autre détail le choqua, une fois passé la surprise du premier : elle avait une peau incroyablement blanche, tellement qu'on aurait dit que c'était celle d'un cadavre. Peut-être était-elle atteinte d'une certaine maladie, comme l'anémie, qui rendait sa peau aussi livide. Sans qu'il ne fasse un seul geste pour l'aider, elle se mit a la recherche de ses lunettes, qu'elle trouva sans peine ; elle les replaça sur son nez, avant de se relever prestement.
« Désolé, je ne vous avais pas vu. En fait, je suis totalement perdue, et comme je suis étrangère, ça n'arrange pas les choses. D'autant plus que cette Capitale est d'autant plus luxueuse que gigantesque ; autant dire qu'elle ne ressemble pas a ma petite bourgade natale ! Pourriez-vous m'indiquer l'emplacement de l'église de la Sainte-Trinité? » l'interrogea-t-elle d'un ton infiniment doux et chaleureux, ses deux iris bleues comme le Ciel brillant d'excitation.
Le rouquin resta un moment silencieux, gardant les yeux rivés sur elle, cette petite blonde gentille aux allures de première de la classe, qui cherchait une foutue Église dans les quartiers de Paris. Une nonne...il venait de tomber sur une de ces vierges effarouchées qui souhaitait devenir bonne-soeur pour faire acte de repenti. Dans deux secondes, elle allait lui chanter la prière adressée a Jésus, ou alors, elle allait endosser le rôle de Marie couche-toi là? Il garda un visage impassible et neutre durant tout son monologue intérieur, histoire d'éviter a la fille de comprendre son jugement d'elle par ses émotions. Il ressentait une sorte de malaise bizarre, en présence de cette inconnue ; il ne savait pas pourquoi, mais sa présence lui paraissait familière, comme s'ils s'étaient déjà croisés par le Passé. Cependant, il n'arrivait pas a mettre de nom, de lieu ou de date sur son visage, ce pourquoi il tourna simplement les talons, pour faire demi-tour. Il détestait les gens, et maintenant, il détestait cette fille. Elle n'avait qu'à se perdre, se faire violer et ramasser en fin de soirée par les flics, il n'en avait absolument rien a foutre.
« A-attendez ! Pardonnez-moi si je vous enquiquine, mais j'ai vraiment besoin de trouver mon chemin ! » s'exclama la fille derrière lui, d'une voix inquiète.
En tournant légèrement la tête sur le coté, il se rendit compte avec ennui qu'elle le talonnait, courant presque pour rattraper les pas de géants qu'il faisait. Elle n'était visiblement pas décidée a le lâcher, et bon Dieu! Ce qu'elle débitait en flot de paroles a la minute était impressionnant. Il garda les lèvres définitivement closes, et accéléra l'allure pour la distancer, martelant le sol de ses semelles épaisses, ses cheveux roux flottant derrière lui comme le vent frappait son visage avec plus d'intensité. Néanmoins, ou qu'il aille, ou qu'il se cache, la fille parvenait toujours a le retrouver, et il avait la désagréable impression qu'elle n'était pas si perdue qu'elle ne le prétendait ; en effet, elle semblait connaître les raccourcis de la ville encore mieux que lui. Sa course finit par le mener dans les quartiers Nord de Paris, les moins fréquentables ; les mains sur les genoux, la sueur coulait sur son front, et y collait ses mèches vives entre elles. La fille, quand a elle, était juste derrière lui, en pleine forme, et caressait du bout des doigts les murs pierreux des bâtisses alentours.
« Merci de m'avoir fait visiter la ville ; je n'en demandais pas tant, mais c'est une bonne chose de faite. » déclara-t-elle avec un sourire si large qu'il remontait jusqu'à ses deux oreilles.
Sidéré, il la regarda sautiller dans la rue presque vide, seulement remplie de marchands ambulants et de filles peu vêtues, les yeux grand écarquillés par la surprise. Ils avaient tous deux courus pendant plus d'une demi-heure ; un humain normal, même très sportif, serait tout de même un peu essoufflé d'une telle course poursuite. Et pourtant, elle lui prouvait le contraire ; elle semblait n'avoir jamais été en meilleure santé qu'au moment-même. Rapidement, ses sourcils tombèrent en un V dangereux, frôlant presque l'arête de son nez. La seule conclusion qu'il tirait de cette histoire? Soit cette fille avait un sérieux grain, soit elle n'était pas humaine. Bizarrement, il penchait plus pour la deuxième solution.
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Sujet: Re: Black Sky above Us - l'histoire de Caleb !