Rappel du premier message :
Arès marchait à côté du grand arbre immortel. Énervé à cause du faim qui lui tiraillait le ventre, il grognait de temps à autre. Aucun gibier en vue. Il avançait d'un pas lourd et lent, tournant la tête de droite à gauche pour discerner la moindre proie. Il observait le bois d'un oeil agacé. Toujours rien. Il commença à s'aventurer dans les buissons, au moins pour trouver un lapin ou n'importe quoi. La faim devenait insoutenable et Arès devenait de plus en plus grognon. Il ressortit des buissons, bredouille, s'ébroua pour se débarrasser des feuilles morte et sortit un funeste grognement du fond de sa gorge. Le mal solitaire leva les yeux vers le ciel entièrement recouvert de nuage gris. Le vent était frais et il soufflait fort. Pas étonnant qu'il n'y est rien à manger. Tous les animaux s'était réfugier. Il grogna une seconde fois ses crocs pointus et blanc découvert, les oreilles en arrière. Bien! Si les animaux ne se montrent pas, c'est lui qui va les débusquer et les sortir de leurs trous. Il baissa le nez à raz le sol et commença à renifler pour trouver la piste d'une proie. Il aurait bien aimer tombé sur une grosse bête mais bon même un petit écureuil ferait l’affaire. Il soupira, ne trouvant absolument aucune piste. Aucune odeur de gibier.
*Fichu froid, c'est à cause de toi si je ne trouve rien à manger!*
Toujours le museau au sol il poussa encore un grognement sinistre, comme pour montrer son mécontentement à Mère Nature. Il releva le nez et soupira, le froid était tel que de la fumé sortait de son museau à chaque expiration et, quand il soupira, Un gros nuage de fumé sortit de sa gueule. Il le regarda se dissipé lentement dans l'air et se remit à chercher. A son grand soulagement il sentit une légère odeur qui allait en direction du bois. Une odeur de sang, du sang de gibier. Il releva légèrement les yeux et regarda attentivement le sol de son regard de feu. Il vit une petite tache de sang à quelque pas de la et si approcha. Il renifla la tache et identifia l'odeur. Une brebis blessée. Parfait Il se mis en position de chasse et suivit la piste. Il s’arrêta à un arbre et se retourna brusquement. Il avait entendu un bruit. Il se mis en position défensive et se camoufla lentement derrière des feuillages. Il tenta de discerner une odeur mais le vent soufflait derrière Arès, ce qui compliquait les choses. Comme il ne pouvait pas compter sur son odorat il s’appuya sur sa vision qui était assez développée. Pratique quand on doit ce débrouiller seul. Il regarda attentivement l'endroit d'où était venu le bruit et observa.
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Sujet: Un lien peut toujours se tisser, même si c'est avec le plus cruel des loups 
Dim 11 Nov - 15:24
