Gaïa avançait, dans la pénombre absolu de la nuit, tout était noir, tout était simple. Elle se sentait seul c'est temps si, elle patrouillait avec Zephyr et Zeke les frère, mais tout était plates c'est temps si, elle sentait le besoin d'être avec quelqu'un de proche, dormir avec ce loup. Mais il n'y avait personne qui pourrait combler son besoin.

Elle avançait, malgré la pénombre elle avait l'impression qu'elle savait où elle allait. Mais vraie, elle n'en savais rien. Elle s'approchait maintenant du saule pleureur. Une brise assez faible, mais assez fort pour mettre ses poils dans tous ses états souffla. Durant se court moment, elle entendit une petite voix au loin qui l'appelait.

Elle courait entendant toujours la voix qui la guidait. Elle arrivait lorsqu'elle vit un loup assit un peut plus loin, lorsqu'elle le vis, elle sentit un sentiment qu'elle n'avait jamais connue remonter en elle. Elle s'approcha de lui, et le vit un peu mieux. Elle reconnut aussitôt Croc-blanc un protecteur de sa meute .

Elle s'avança vers lui pour finalement s'assit à côté de lui. Il était dotée de muscle puissant,de griffe acéré,croc pointue,mâchoire très puissante qui peut faire réfléchir à deux fois un concurrent ou un ennemi. Sa force est in-songeable,il ne faudrait surtout pas le sous estimer,car il se battait comme un démon,il se montrait violent,franche,rapide et direct en terme de combat,il trouverait rapidement les points faibles,et le mettrait rapidement hors d'état de nuire. Il était très rapide. Il était très agile, il était aussi reconnaissable avec son pelage mélanger de gris, de noir et de blanc, il était très fournie en poil,très doux comme un duvet.

- Salut, ça va? Tu es Croc-blanc? Enchantée, moi c'est Gaïa!

finit-elle par dire.

Croc-Blanc la dévisaga quelque instant, surpris. Mais il finit par ouvrir la bouche et lança sa phrase!

-Bonjours Gaïa, je suis de même enchanté, je vais bien, et vous ? qu'est ce qui vous amène à moi ?

Il avait répondu avec tant d'émotion, sa voix était si belle!Un léger vent se mêle entre nous, caressant nos fourrures, berçant les branches du saule pleureur, remuant l'eau au bord de l'arbre, comme si un être invisible nous observait. Avec sa truffe, il toucha mon museau en me cajolant, en terme d'affection. Je sourit, l'émotion m'avait emporter, j'avais même oublier sa question! Il s'approcha un peu plus de moi, se rassoit, et il attendais quelque chose, mais quoi? Il me regarda dans les yeux et je baissa la tête gêner.

Puis je me souviens, sa question! Je me pressa alors de lui répondre avec autant d'affection qu'il m'avait donner!

- Je vais bien merci! Je pense que sait le destin qui m'a amener a toi, je suis si bien ici, nos fourrure coller ensemble!

Je me frotta à lui pour ensuite lui lécher l'oreille! J'était si bien!