Django As ♠
Avertissements : Messages : 814 Date d'inscription : 23/09/2012 Age : 26 Localisation : De l'autre côté du tableau... Chez les fous x3
| Sujet: La seule chose qu'il nous manque pour attendre le ciel, c'est la volonté! Ou peut-être des ailes aussi... [PV Vicius] Ven 30 Aoû - 1:10 | |
| C'était comme un vent glacial qui engouffrait dans la petite grotte ou le petit louveteau c'était réfugier. La pluie ne cessait de tomber et Nova était tous mouiller. Cela faisait déjà un moment qu'il cherchait un endroit où s'abriter. Malheureusement pour lui, il ne pouvait pas rejoindre Mama, Bob et les trois peste qui leur servaient d'enfants. Euh il c'était réfugier dans un arbre, bien caler dans leur nid, entre les feuille d'un grand arbre. Et puis de toute façon ce stupide Bob n'aurait pas voulu me laisser. Pff. Comment on peut rester avec un gars comme ça, il fait la paire avec ce temps, froid et mouiller. Le petit Nova avait froid, il tremblait beaucoup. Ici c'était son endroit favoris, des endroit où s'abriter il y en avait plein mais c'était ici qu'il voulait aller. Il y avait beaucoup de chose sur le sol, des chose assez surprenante. des morceau de papier qui venait du "monde" des humains, Mama lui en rapportait souvent, lui qui adorait qu'elle lui raconter ses aventure là bas, c'était très excitant pour lui. L'un de ses grand rêve était d'ailleurs d'y aller pour voir tout ces choses de ses propres yeux.
Allonger sur le sol, le jeune loup regardait l’extérieur, on ne voyait rien du tous, la pluie et le brouillard formait un rideau dense. Nova regarda les papiers mouiller disperser sur le sol, certains portait des symbole totalement illisible pour le petit, peut-être l'une des langues des humains. Il tomba sur une image où deux mains étaient entrelacées, puis une autre avec un jeune humain et une sorte de loup appeler "chien" d'après Mama. L'humain souriait et le chien avait l'air heureux. Nova ne comprenait pas vraiment comment un loup pouvait cohabiter avec un humain, c'était contre nature, et puis ces "chiens", pourquoi on les appelait comme ça? C'était bizarre. Un loup c'est un loup un point c'est tous! Il remua légèrement la queue, toujours cette air d'amusement dans les yeux, un air qu'il avait toujours, même quand on lui déblatérait les pire insulte, son coeur était comme impénétrable, comme si on ne pouvait pas le vexer. Il se leva et trottina vers la sortit, rester enfermer, c'était pas son truc. Il marcha un moment sur les terre libre, là où était situer sa "maison", histoire de se promener. Il salua quelques oiseaux qui s’envolèrent aussitôt en le regardant de travers. Il continua de trottiner, sous cette pluie torrentiel jusqu'à arriver sur les terres rubis. Il aimait bien ces terres, il y avait toujours des truc marrant là bas. C'était peut-être pas recommander de se promener seul la nuit, surtout quand on est un petit et qu'on voit rien mais bon, il aimait ça. En plus le danger ne lui faisait pas peur. En faite si mais il avait une telle insouciance qu'il ne s'en rendait compte que sur les faits.
Il se rendit aux murs infranchissables, ces curieuses choses faite de la main de l'homme d'après certaines rumeurs. Il se planta en face de l'un d'eux, plantant ses pattes dans la boue, le pelage dégoulinant et les yeux remplit de curiosité. Il s'approcha encore un peu et se dressa sur ses pattes arrières, posant les deux autre sur le mur glissant. Un oiseau pouvait aller en haut lui, mais comme Nova était différent des autres oiseaux, il ne pouvait pas. Quel nature injuste... Un petit bruit près de lui attira son attention. Au milieu de cette bruyante pluie, il avait réussi à distinguer un craquement, surement causé par une branche casser. Il tourna vivement la tête vers le bruit, scrutant les environs, luttant contre le brouillard. Il ne vit pourtant rien, surement un lapin ou quelque chose comme ça. Il reposa son regard vers le sommet du mur, se recevant beaucoup de gouttes d'eau dans les yeux, ce qui était assez agacent. Il devait surement cligner des yeux toute les trente secondes.
Il reposa ses pattes contre le sol, manquant de se cogner le museau contre le mur et s'éloigna un peu du mur en reculant. Il posa ses fesse sur le sol boueux et laissa la pluie caresser son visage. Il regarda un instant le ciel et ouvrit grand la gueule pour avaler les gouttes d'eau. Il se leva un sautilla ainsi un bon moment, gueule ouverte.
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