Cours cours la marmotte - Réservé a Paradox ^^

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Kant se baladait dans les plaines des opales, il avait très envie de s'amuser, et avec son père et son jumeau, ils allaient très souvent à al colline aux marmottes histoire de taquiner les rongeurs en les poursuivants. Le loupiot à la fourrure noire se faufilait avec aisance et en même temps sa maladresse de louveteau, depuis quelques jours, les différentes meutes ne se faisaient plus vraiment la guerre, trop occupé à essayer de survivre à l'épidémie qui infestait les différents lieux de la contrée. Enfin, tout cela était bien loin des préoccupations d'un louveteau de 3 mois. La seule chose qu'il avait du mal à comprendre, c'était la disparition soudaine de son père, mais bon tout le monde lui disait qu'il était parti ailleurs et qu'un jour sans doute il le retrouverait. Donc, le petit Kant, l'un des possibles successeur du grand roi opale, soit le grand Méphistophélès, le loupiot trottinait sur le petit chemin. Les terres opales, il les connaissaient par coeur surtout le chemin pour se rendre à la colline. Le jeune louveteau opale arriva bientôt sur une vaste plaine envahit par des collines sur lesquels étaient parsemé de rocher blanc, gris, ainsi que des centaines de petits trous noirs, soit les terriers de ces fameuses marmottes. Le loupiot s'aplatit sur le sol et observait la première colline qui se dessinait devant son regard ambré. Il était encore dissimulé par l'orée des bois, caché par les dernières ombres de la matinée avant que le soleil ne tourne et ne l'expose à la lumière du soleil. Kant repéra sur un rocher blanc une petite forme rousse dressée sur ses deux pattes arrières, scrutant les alentours. Il entendit plus loin le sifflement familier d'une marmotte qui venait signaler aux autres la présence d'un ennemi. En effet, dans le ciel bleu de ces premiers jours de printemps, un aigle esquissait une danse funeste dans les cieux, se rapprochant inexorablement du sol pour attraper une marmotte. Le louveteau noir observa le spectacle aérien, et les marmottes courant se réfugier dans leur repère.

Kant savait que l'aigle était pour lui une menace, il attendit alors, avec une impatience non dissimulée que le rapace s'en aille chercher une proie ailleurs ou bien repartent déguster un possible repas dans son nid plus loin. Le petit opale observait, et finalement l'aigle fut le plus rapide, il parvint à attraper une marmotte qu'il emporta dans les airs. Kant le regarda s'éloigner, il attendit encore avec toujours une forte impatience, que les marmottes sortent de leur trou. Ces dernières sortirent assez vite pour retourner vaquer à leur occupation comme si de rien n'était. Sans perdre une seconde, le louveteau noir se jeta à corps perdu dans la colline poursuivant les marmottes sur l'herbe verte.

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Cours cours la marmotte ~

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ne bêtise, deux bêtises, trois bêtises… A force d’en faire je ne les comptais même plus. Je n’obéissais pas a mon papi, je fuyais toujours de la grotte, j’étais arrogant avec tout le monde… Enfin tout le monde sauf une personne, mon frère jumeau, Kant. Il était le seul loup –enfin a part moi- que je respectais. On était deux fouteurs de problèmes aussi, on était toujours les premiers a se mettre dans la mouise la plus totale. Je m’étais échappé comme a mon habitude de la grotte pour aller me balader. Mais où allais-je bien aller ? Je ne savais pas encore, je laissais mes pattes me guider comme toujours et elles allaient vite, très vite même prenant un chemin qui était plein de l’odeur de Kant. Ah bas il était passer par ici et apparemment j’allais le rejoindre, ça me déplaisait pas, j’adorais rester avec lui.
Il allait vers la colline aux marmottes, c’était un bon endroit pour apprendre a chasser ou même pour s’amuser, ben oui s’amuser était le plus important quand on est un louveteau même si papi n’était pas d’accord avec sa. Mes pattes allaient de plus en plus vite, et oui car la vitesse a toujours été mon point fort, j’allais toujours très vite. Finalement je finis par arriver a la colline aux marmottes. Je regardais le ciel et vit un aigle s’envoler avec une marmotte dans le bec, grrrr saleté de rapaces je les détestais. Puis en regardant au loin je vis une boule noir courir et sauter après quelque chose. Il ne fallait pas être devin pour que je devine que c’était mon frère. Je courrais vers lui et lui sauta dessus en faisant des roulés boulés.
-« Hey frangin !!!!!! »

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Kant continuait de poursuivre les marmottes plongeant même dans les trous laissant dépassés son dernier et fouettant l'air de sa queue. Il sortit du trou, la tête recouverte de saleté qui le firent éternuer faisant voltiger dans les airs des grains de poussières. Mais avant que le jeune prince héritier des opales, ne comprennent ce qui lui arrivait, il se retrouva à faire des roulés-boulés sur le flanc de la colline entrainé par un autre loup de sa taille. Il reconnu sans peine l'odeur familière des opales, mais surtout l'odeur délicate de son frère jumeau. Kant laissa échapper un grand sourire sur ses babines sombres, et en profita pour tirer l'oreille de son jumeau, histoire de l'embêter. Les deux louveteaux avaient dévalés la colline, évitant par miracle les rochers, cependant, cela était sans doute plus dû à la chance d'avoir une petite taille, un peu passe partout. Le louveteau à la fourrure sombre roula doucement sur le côté et planta son grand regard doré dans celui de son frère. Si, Kant était aussi noir que son père et son grand-père, c'était légèrement différent pour Paradox qui avait une fourrure légèrement plus clair, grise avec des reflets sombres. Séparés, les deux louveteaux s'avéraient très turbulent, mais lorsqu'ils étaient ensemble, ce qui était la majorité des cas, ils adoraient faire des bêtises, et bien évidemment plus la bêtise était grosse, plus les deux petits princes opales y prenaient du plaisir. Même si beaucoup de chose énervait le dominant des Opales, ce dernier parvenait le plus souvent à rester calme avec les siens, mais lorsque les deux jeunes louveteaux s'y mettaient, alors ils n'avaient aucun mal à faire sortir de ses gonds leur grand-père, au plus grand plaisir des deux petits chahuteurs. Enfin dans l'instant, Méphisto n'était pas là, alors autant en profité. Kant ne détachait pas son regard de son jumeau, il l'observait avec un air accusateur et en même temps malicieux, comme pour dire "tu veux jouer, bon ben on va faire des bêtises."

- Comment tu savais que je serais là ?

Kant savait déjà plus où moins la réponse, entre les deux jumeaux c'était quelque chose de fort, et ils parvenaient à lire en l'autre comme les druides lisent dans les étoiles.

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[ Membre désinscrit, je verrouille ce rp. ]