Bonjour et bienvenue sur Wolf Temporal Invité ! Si vous avez la moindre question n'hésitez pas, le staff est toujours disponible et a votre écoute. Surtout amusez vous bien et surtout que le rp soit avec vous !
Wolf Temporal
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L'été persiste sur les territoires Temporaliens, pour le plus grand plaisir des loups habitant ces terres. Uniquement chez les Améthystes, la chaleur n'est pas au rendez-vous, et les températures ne dépasseront pas les 20°C. Pour tous les autres territoires, soit les Saphirs, Rubis, Émeraudes et Diamants, les températures dépasseront largement le seuil des 30°C, alors ne restez pas exposés au soleil trop longtemps!
Avertissements : Messages : 5796 Date d'inscription : 15/08/2012 Age : 25
Sujet: Amalthea - ♀ - Améthystes - Assassin. Dim 23 Juin - 15:35
Amalthea
Qui est-tu ?
Nom : Amalthea Surnom : Elle dit à qui veut bien l’entendre qu’elle s’appelle Anthéa. Elle n’aime pas son prénom. Âge : 4 ans moins des brouettes. Sexe : Femelle Meute : Améthyste Grade : Assassin Liens-Famille : Demi-soeur: Nora, mais elles ne se connaissent aucunement. Voir l'histoire.
Physique
5 lignes minimums : Anthéa est une louve qui est loin d’être moche. Mais disons qu’elle est… passe partout. Jolie, sans être extraordinaire. Seuls ses yeux vert émeraude sont reconnaissables. Et c’est souvent la dernière chose que ses victimes voient avant de mourir. Dans ces jolis yeux, elle arrive à faire passer plein d’émotions, sans jamais en ressentir une seule. C’est son meilleur atout ses yeux. Sinon, sa fourrure est plutôt épaisse, et elle est physiquement assez trapue. Légèrement petite, mais bien en rondeurs, elle pourrait plaire à certains mâles. Ses poils sont un mélange de bruns, de roux, de gris, de noirs.
Caractère
5 lignes minimums :Ce qu’elle est : Là, c’est sa partie. C’est ses pensées, ses réflexions. Elle, elle est comme ça, en vrai… « Ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est tuer. Ce qu’elle ressent lorsqu’un Garde l’appelle pour un intrus, et qu’elle s’en débarrasse, c’est délicieux. C’est ça, c’est délicieux. C’est comme ça qu’elle voit les choses. Mais c’est à moitié faux. Car elle ne sait pas ressentir. Elle n’est pas dotée de cette fonction. Quelqu’un de normal ressent des choses. Elle, elle peut sentir. Elle peut sentir le vent dans ses poils, elle peut sentir la fraîcheur de la neige sous ses pattes. Mais pour ce qui est de ressentir… elle simule. Il faut bien vivre. C’est vraiment étrange, quand même, cette façon permanente qu’on les gens de vouloir savoir ce que vous ressentez. Vraiment étrange. Anthéa, ça ne la gêne pas tant que ça, cela lui permet de jouer le jeu plus longtemps, voir si elle est toujours au point, si elle ment toujours aussi bien. Tout se joue dans le regard. Et Anthéa joue très bien avec ses yeux. On dit que les yeux ne mentent pas. C’est faux. Elle le peut, elle le fait tous les jours. A part ça, Anthéa c’est… un reptile. Oui, je pense que c’est la meilleure description à faire de cette louve. Ces animaux écailleux lui ressemblent en beaucoup de points. Elle tue de sang-froid, ils ont le sang froid. Elle réagit de la même manière qu’eux. Action-réaction. C’est comme ça dans sa tête, dans son esprit. Un instinct, seulement un instinct. Un stimulus, un danger, une réaction, une fuite, une mort. Drôle de lézard. Drôle de cerveau reptilien. Mais ça aussi, ce n’est pas si difficile à cacher. Quoique parfois, certaines personnes un peu trop curieuses réussissent à la mettre dans des situations où il faut jouer mieux que ça. C’est bien. C’est comme un entraînement. Comme tout bon assassin en série qui se respecte, Anthéa a un mode opératoire. Un rituel. Et une signature. Elle doit avouer qu’elle est plutôt fière des cadavres qu’elle laisse en général. C’est une vie bien remplie. Une vie emplie de jeux et de sang. Une vie qu’elle fait passer pour banale. Qui le devient, à la vue de tout le monde. » Ce que l’on voit : Et ici, c’est ce qu’elle veut bien montrer au monde. Comment les autres la voient, et c’est aussi son jeu de tous les jours... « Anthéa est une louve qui aimerait faire régner le chaos dans le monde, ça c’est clair. Comme tous les Améthystes, je pense. Mais il est dur de faire une description entière d’Anthéa, parce qu’elle est très secrète. Elle ne dit quasiment jamais ce qu’elle ressent. Quand on aborde le sujet, elle répond, mais elle finit par éluder la question avec une pirouette verbale de sa composition. Une spécialité de la demoiselle. Elle ne fait pas souvent d’humour. Et… n’a pas beaucoup d’amis. Juste quelques-uns, et le respect qu’elle doit à sa hiérarchie. Elle n’outrepasse jamais les règles. Je dirais qu’elle intériorise ce qui la tracasse. On ne sait pas trop, et c’est dur de lui faire cracher le morceau. Elle ne doit pas vouloir craquer, ou passer pour une faible. D’un côté, c’est compréhensible. Sinon, elle est très gentille. Serviable, elle aide quand elle peut. En fait, elle est plutôt agréable à vivre du moment qu’on ne lui pose pas trop de questions et qu’on lui laisse un minimum de liberté. Anthéa, c’est une louve qui ne sort pas du lot, elle est normale, comme les autres. Juste un peu silencieuse et jamais agressive. »
Histoire
10 lignes minimums : Toute histoire commence par une naissance. Seulement, Anthéa n’a que très peu de souvenirs de sa naissance. Elle sait que son père était un puissant tueur. Mais il avait des principes, il ne tuait que ceux qui le méritaient. Et jamais de femelles, ni de louveteaux. Anthéa, elle possède des principes aussi, qu’elle tient de son père : elle ne tue pas les louveteaux. Seule différence, les femelles, si elles le méritent, passent tout aussi bien sous ses griffes tranchantes. Son papa, il s’appelait Arty. Sa maman, elle, c’était une femelle très discrète et très effacée. Certainement aussi, un peu maso, pour vivre avec un libertin comme le père d’Anthéa. Enfin… « vivre » est un grand mot pour une louve qui est morte lors des un an de la demoiselle. Anthéa ne se souvient même pas de son prénom. Mais ce n’est pas grave, car elle n’était pas importante. Et les prénoms non plus ne sont pas importants. Après tout, on les emmène dans la tombe, non ? On peut donc confirmer qu’Anthéa fut élevée en grande partie par son père. Son père, ce grand coureur de jupons et tueur recherché par beaucoup de familles endeuillées en soif de vengeance… Lui, il lui enseigna le strict minimum de la vie en société, jusqu’à ce qu’il se rende compte que sa fille tuait elle aussi. Pour le plaisir, en revanche. Pas comme lui, qui, certes prenait un certain plaisir à ôter des vies, mais le faisait surtout pour débarrasser le monde de quelques ordures. Alors, il s’intéressa plus à son cas, et c’est lui qui lui apprit les bases de la simulation. Il ne voulait pas la changer ; et c’est ce qu’Anthéa apprécia chez son père, il voulait juste dissimuler sa différence. Elle fut une très bonne élève, ça oui. Même si la gloire du jeu lui revient plus à elle qu’à lui, puisqu’elle a forgé cette image d’elle quasiment entièrement seule. Lorsqu’elle atteignit l’âge de ses trois ans, elle revenait d’une partie de chasse où, elle devait l’avouer, s’était bien défoulée sur le cerf. Il n’y avait personne autour d’elle, elle en avait profité. Alors qu’elle traînait la carcasse de l’animal sur le sol, elle découvrit son père, du moins ce qu’il en restait, sur le sol. Sur les flancs, il respirait faiblement. Mais il était encore là. Il la vit et elle se rendit compte que dans ses yeux à lui, il y avait la lueur des sentiments qui brillait. Une chose qu’elle n’aurait jamais. Mais quand on ne possède pas quelque chose, on ne peut la regretter, n’est-ce pas ? Il lui intima de s’approcher, ce qu’elle fit. Et avant de rendre l’âme, il lui prodigua ces quelques paroles : « - Tu as une demi-sœur, quelque part, sur les terres de Temporal… Nora. Si jamais ça t’intéresse… Je ne pense pas qu’elle connaisse ton existence… Il faut de toute façon que tu… rejoignes un clan… tu es un loup, tu ne peux vivre seule… et n’oublie pas : il te faut paraître normale… c’est le fondement pour ta survie… Personne ne doit découvrir qui tu es vraiment… ils ne comprendraient pas. » Ces paroles lui avaient coûtées, mais il les avait dites, avant de succomber. Anthéa avait écouté attentivement. Et elle laissa glisser un léger « Merci » avant de quitter le corps. Curieuse, elle décida de suivre les conseils de son paternel, tout en réfléchissant au fait que sa mort n’avait toujours fait aucun remous en elle. Elle était insensible… C’est triste. Enfin, ça devrait être triste. Mais ça, Anthéa ne connaît pas. Elle sait le jouer ! Alors, elle laissa tomber des larmes sur le sol, pour s’entraîner. « C’est dans un état terrible de chagrin que nous l’avons trouvé », dirait tout membre de sa meute actuel, Améthyste. « Je ne sais quelle bêtise elle aurait pu faire si nous ne l’avions pas recueillie ». Maintenant, Anthéa continue à cacher son jeu, mais elle a en plus à découvrir l’identité de sa demi-sœur. Pour conclure sa vie banale, il lui faudrait un mâle. Qui sait ce que l’avenir lui réserve ?