« Le flower power Est mort sur le dance-floor L'électro le punk n'existe pas encore Enlève le roll'n aux rockers On a changé d'époque Le rock roule en roller La pop est en cloque Le flower power Est mort de sa belle mort New-wave et techno n'existent pas encore Vas-y joue le ton dernier rôle N'est plus là le dandy Mais tu danses encore dans les yeux Warhol»

Cela faisait pas longtemps que j'avais vue le jour. Dehors, tout était si beau et plaisant. J'avais tenter à mainte et mainte reprise de sortir mais à chaque fois ma mère était dans mes pattes. Elle me prenait par le cou et me remettait auprès des miens. Mais voir papa sortir, revenir, ressortir ne faisait qu'un seule effet en moi : la liberté. J'avais envie de sortir, de découvrir le monde sans que personne ne m'en empêche. Et c'était surement pas aujourd'hui qu'on allait m'en empêcher. Ma mère dormait, roulé en boule avec mes frères et soeurs. J'étais resté éveillé rien que pour faire une nouvelle tentative. Certe le lait de maman me donnait très envie de rester car il était plus que bon, mais je promettais de revenir se soir avant qu'il ne se réveil tous. Me levant sur mes quatre petites pattes, je me suis avancer lentement vers ce trou lumineux qui devait surement être la sortis. Plus j'avançais et plus l'air frais venait se frotter contre mon pelage blanc. J'ai cligné deux fois des yeux, révélant de magnifique pupille bleu océan. Papa me disait que quand il me regardait, il avait l'impression de se perdre dans les profondeurs de l'océan. Tout comme lui j'étais calme, mais tout comme lui quand il s'énerve, je peu faire de terrible dégât. Enfin c'est ce que me dit mon papa car je suis encore un peu trop petite pour provoquer quoi que se soit. Mais j'entendais souvent mes parents dire : Nos filles ont un caractère bien trempé, à mon avis personne osera les embêter. Cela me faisait rire mais je pense qu'ils n'avaient pas tord dans un sens. J'ai pointer le bout de mon nez dehors. L'air frais venu envahir mes petits poumons. J'ai respirer à fond, comme ci c'était la première fois de ma vie. Dehors, le ciel contenait de gros nuages noir qui allait et venait, si et la. Il y avait un peu de vent, comme ci une tempête se préparait. Je savais d'ailleurs que la pluie elle aussi n'allait pas tardé, mais j'ai quand même décidé de sortir, cela n'allait surement pas empêcher mes petits projets de la journée. J'ai fais un pas, l'herbe était molle et douce au contacte de ma patte. Je me suis avancer, le camps faisait comme une petite clairière, avec des tanières en plus. Je me suis alors lancé, trottinant à travers l'herbe fraîche qui me montait jusqu'au cou. J'ignorais ou j'allais, mais pour moi c'était déjà clair, mes pattes allaient me guider et je ne déciderais pas de ma destination. L'air était assez lourd, comme ci un énorme orage allait éclater.

Il y avait de beau oiseau dans le ciel. J'ai levé la truffe afin de mieux les voire. J'ai même remarqué des écureuils dans l'arbre. D'ailleurs je ne l'avais pas encore remarqué mais je venais d'entrer dans une forêt étrange. Les arbres n'avait pas de feuille comme si ils étaient morts. Il y avait même un corbeau au plumages noir comme les nuages dans le ciel. Il a croasser, mais je ne lui portait aucun intention, je me sentais juste un peu tendu. J'étais donc dans une forêt morte, je pense. C'était bizarre de marcher dans un lieu pareil. Le sol commençait à craquer à chacun de mes pas, il état noir comme si il y avait eu un incendie ici. Je pensais tomber sur un truc plus gaie pour ma première sortis, mais sa c'était pas mal. Après tout qui dit endroit désastreux dit endroit aventureux. Ou alors, c'était moi qui l'avait inventé. Peu importe. Je continuais ma petite escapade comme ci je faisais une visite guidée. L'odeur de ce lieu était pas très bon à sentir, mais plus je marchais moins je la sentais. Sur ma vue, deux grand énorme rocher s'élevait dans le ciel. Je me suis diriger vers eux en slalomant entre deux brindille d'herbe. Il y avait un léger trou, je suis passer dedans car j'étais petite, c'était utile dans un sens. Lorsque je suis ressortis, j'ai failli perdre pied. Devant moi, un immense maison, comme un manoir, se dressais dans toute sa grandeur. Je me suis un peu approcher, et plus j'avançais plus les détails se lisaient. Les fenêtres étaient cassés, la porte entrouverte et des briques du mur tombait un à un. Des oiseaux entrait et ressortais, des bruits assez effrayant se faisait entendre. Intéressant ! Je me suis approcher, et j'ai passé ma tête dans la porte, afin d'apercevoir l'intérieur. Un couloir qui donnais sur des escaliers et qui les longeais dans des autres pièces avait la tapisserie déchiré. Des objets était cassés et des tonnes de feuilles avait été semée sur le sol. J'ai fais un pas, puis deux et je me suis retrouver dans une maison sombre. A chaque pas que je faisait, le sol grinçait dans un horrible son. Je continuais d'avancer, silencieuse et sur le qui vive. J'avais les oreilles plaqué sur mon crâne et mes poils qui se redressais après mainte et mainte frissons venant de mon corps. Fli-ppant.