All that i saw, is the violence

All that i saw, is the violence

[Pv of Gaïa and Eurynome]

Et toi, quand te réveilleras-tu de ton sommeil ? Que se passera t'il si tu te réveillerais ? Allez réveilles-toi feignasse et arrête tes c*nneries ! J'ai compris... Cependant, je me réveilla au petit matin, il était environs... Celons moi, 6h00 du matin. Seulement 6h00 du matin ? Tu pourrais faire moins. Tu me fatigues... Enfin, je reprend. Il était donc 6h00 du matin. Je me suis tous simplement assise regardant le ciel. Si seulement j'avais un indice qu'il est bien vivant... Je poussa un

léger souffle puis je regardais autour de moi. Quel vide. J'ai du tous grignoter hier. Ce n'est pas le moment de grignoter, goiffreuse ! Rhalala... Je suis sortis de mon gîte, et puis comme toujours, des regards menaçant autour de moi. Je les ignorais tous simplement, tout comme de vieille chaussette. Poussant un léger souffle, ayant marre des les éviter. Si seulement je pourrais les faire souffir. Mais je ne peux pas, comme je dis toujours, mieux vaut ne pas avoir d'autres regards menaçant, ou tu auras

affaire au alpha. Mais quel gachie !. Je ne pourrais pas me défoulé vers les Opales, mais les autres meutes. Bon, on continue l'histoire ? Je suis donc sortis su gîte, regardant les autres loups me regardant toujours. Je suis donc partis a l'Est, où ils ne pourront pas me voir. Cela me fera de l'air. J'ai toujours eu raz-le-bol que l'on me regarde comme ça. Mais je ne m'enfuie pas, je suis partis me défouler et pas rester a ne rien faire. Reprenons ! Je suis partis à l'arbre immortel. Voir si il n'y avait pas un ou

plusieurs personnes à qui souffrire. Personne... Ce n'est pas possible ! Tu dois le faire. Je sais, mais tu veux que je fasse comment ?! ... Aucune réponse. Mais pourtant, je sentis une présence. Je ne savais pas de quel meute était-il. Pas de Saphirs...ni d'opale, pas de Rubis, ni d'émeraude et ni de Diamants. Peut-être un solitaire. Enfin un peux d'actions ! Un mâle ? Bon, on va faire d'abord la connaissance et après nous alors nous allons voir notre petite souffrance. Enfin, je me ferais encore un ennemi mais que voulez-vous ? Je suis comme ça.

[Oui oui, c'est très coureuuh 8D]

Invité

✖ Gaïa & Eurynome ✖

« Le bien et le mal, qu'elle manque de subtilité. »

Le vent souffle très légèrement. Les premiers rayons du soleil vienne caresser mon visage. J'ouvre un œil puis l'autre ... Je grogne. Un grognement étouffé. Je n'ai pas envie de me lever, pas maintenant. J'ai envie de dormir et de ne jamais me lever. Je n'ai pas envie de voir ces loups de meutes se paver devant moi telles des divas ! Cela me dégoûte, me répugne, me donne envie de vomir. Berk. Rien que d'y penser, j'en ai des frissons partout. Je finis par me redresser, je me lève. Je détends mes muscles du mieux que je peux avant de tenter de faire quelques mètres. J'hume l'air. Personne à signaler. Tant mieux. Sans attendre davantage, je m'avance. Dès le petit matin, je suis levé. C'est toujours comme ça et je doute que ça change un jour. En même temps quand vous avez un oiseau qui ne cesse de chanter juste au-dessus de votre tête, vous n'avez pas vraiment le choix. Oh oui, ce maudit oiseau. Si un jour je l'attrape, je sens que je vais lui faire regretter le jour de sa naissance. Agacent petit volatile de malheur.

Je ne sais pas où je veux aller. A vrai dire, je ne fais que de suivre là où mes pattes veulent que j'aille. Je sais, c'est assez curieux comme situation. Mais que voulez-vous ! Je viens à peine de me réveiller, j'ai les yeux qui ne sont même pas grand ouvert ... Je baille une fois, deux fois, trois fois ... Au bout de la quatrième fois, j'ai arrêté de compté. Je me dis que peut-être je ferais mieux de me trouver un autre endroit pour dormir, mais quelque chose au fond de moi me dit que je risque de faire une belle rencontre si je continue d'avancer. J'écoute mon instinct, il ne sait jamais tromper et il ne m'a jamais déçu. Bien vite j'arrive dans un autre territoire des terres libres. J'avance encore, encore et toujours. En espérant que j'ai bien fait d'écouter la petite voix dans ma tête

Rapidement, j'aperçois une silhouette. Je grogne quand je sens l'odeur d'une meute flotter ... Je pensais que je n'aillais pas croiser un de ces loups de meute, mais je vois que je me suis bien trompé, encore une fois. Je soupire, j'en ai marre. Tous ces déchets qui polluent notre monde, ce n'est plus possible ! Je me rapproche sans crainte de l'individu. Je le toise de mon regard de sang, je montre les crocs pour bien lui montrer que je ne suis pas là pour me taper la discussion avec elle. Ce n'est que le premier avertissement pour lui dire de partir avant que l'envie de tuer me reprenne.

Well, i see that i annoy you
[PV of Gaïa and Eurynome]

Encore un regard, un regard avec ceux qui l'on fait depuis peu de temps. Je poussais un léger souffle. Arf, si je pouvais les faire taire un jour... Les faire taire comme un ennemi de puissance zéro. Bon c'est pas tous, mais je dois les faire taire... Bref, je m'en occuperai plus tard ! Là, je dois m'occuper de ce solitaire. Mais lui qui est de très très mauvaise humeur, il grogna puis se rapprochait de moi. En montrant ces yeux de couleur sang. Puis il montrait ses crocs. Pense-t-il que je vais m'enfuire ? Il va se tromper lourdement. Je suis bien qu'un assassin mais de bon, je dois lui

faire comprendre que je ne suis pas une chochotte qui ne va pas se défendre ou qui va s'enfuire en courant. Encore un léger souffle. Bon, cela suffit, il a grogner, puis a osé pointé son regard au mien puis de montrer ses crocs. Je m'approche puis je lui fait un regarde étonné, levant un sourcil. Je lui fit un sourire, montrant mes crocs. Je ne suis pas une femelle gentille, mais en montrant mes crocs, je suis certaine de lui faire comprendre que je ne suis pas une timide ou de loin une peureuse. J'arrêtai ce sourire puis je m'asseyais comme si je n'avais rien a faire de lui. Bah oui, pourquoi

j'aurais peur de lui ? Appart si j'étais une idiote, je ne m'approcherais pas de lui. Bah pourtant, avant que je m'approchais, ce n'étais que de quelque centimètre. On avait au moins 1 mètre d'écart. Peut être moins, mais je ne vais pas le tournoyer dans tous le sens, pas aujourd'hui. Ou peut être bien... je ne sais pas. Je tournais autour de lui pendant quelque tour puis je m'arrêtais pour le fixer. Droit dans les yeux. Je faisais les grands yeux. Puis je m'asseyais devant lui, près de 55 centimètre. Je lui disais :

- Pense tu vraiment que j'ai peur de toi ?