Physique
5 lignes minimums : Loupiote sombre, ayant plus pris du côté du père que de sa mère. Néanmoins, son regard orangé-marron lui vient d’un de ses ancêtres. Son pelage épais en hiver, léger en été, est d’un doux classique. Ses pattes fines et élancées, tout comme le reste de son corps, mettent en avant le fait que c’est une femelle. Sa musculature en plein développement lui fait paraître bien fluette, comparé aux adultes. Quoi de pus normal ? Une allure énergique, presque bondissante, montre à quel point cette loupiote est active. Elle ressemble à Amber, parfois. Bien qu'elle n'aille pas à de telles extrémités.
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Caractère
5 LIGNES MINIMUMSUne rancunière. Oblivion peut paraître sympathique, avec cet air innocent qu’on la plupart des petits de son âge. Mais, ne vous y trompez pas. Pas qu’elle soit cruelle ou méchante, simplement, que si vous la blessez, elle ne restera pas sagement soumise. Elle vous rendra le mal que vous avez commis. En prenant les mesures qu’elle juge nécessaires. En gros, un bon lynchage en règle par notre petite Solitaire si vous heurtez sa petite personne. Bon, pas grand-chose à craindre, étant une petite chose encore frêle et tout juste à l’aise dans la Nature pour s’y aventurer dès l’âge de 6 mois. Pas grand chose à craindre, mise à part qu’elle soit une rancunière aussi acharnée que récidiviste. Tant qu’elle n’aura pas eu ce qu’elle souhaitait, soit voir son ennemi croupir à ses pattes, la loupiote ne se lassera pas d’entreprendre toutes les manœuvres pouvant nuire à celui-ci. Quelque peu écervelée, elle se mesurera à tout et n’importe quoi pour assouvir sa soif de vengeance. Une attitude puérile, à la hauteur de ses quelques mois de vie. Maligne et rusée, Oblivion se plait à élaborer des plans et des pièges. Surtout pour se nourrir, étant donné qu’elle est jeune et seule. Bien qu’elle répugne à le faire, elle mange les restes de différents prédateurs. Néanmoins, c’est là la seule façon de pouvoir survivre lorsqu’il lui est impossible de choper un mulot ou un oiseau à une aile brisée. Comme on peut alors en déduire, la petite loupiote est assez orgueilleuse. Mais sans plus. Pas delà à mépriser les autres, elle a simplement un certain idéal auquel elle tient à rester fidèle. Son esprit de libertine l’a poussée à se séparer de sa famille aussitôt qu’elle l’avait put. Aussi, se séparant des Rubis comme des Emeraudes, n’ayant pris aucun des choix qui semblaient s’offrir à elle, Oblivion décida de passer Solitaire. Mais, sa décision relevait d’autant plus d’un de ses énièmes stratagèmes qu’autre chose. Néanmoins, ne sachant pas encore que faire pour arriver à son objectif, ayant plusieurs chemins possibles, Oblivion ne sait encore se décider. Son but, venger sa mère. Effectivement, la loupiote, lorsqu’elle était encore chez les Emeraudes, avait entendu des faits pas très nets. Des choses étranges qui se racontaient sur sa propre famille. C’est aussi la raison de son départ des Verts, beaucoup trop de choses se disaient et circulaient. Elle y apprit quelque une chose qui la mena plus tard chez les Rubis. Sa hantise, serait de se voir terminer comme sa mère, sa sœur, ses frères, son père. Ressembler à sa famille, en gros. Pas qu’elle ne tienne pas à eux. Simplement que la loupiote tient à rester unique. La seule dans son genre, une petite rebelle en marge de la société, une louvarde rongée par l’impuissance et l’envie de vengeance. Avec les autres loups, adultes ou non, Oblivion se contente de faire connaissance et sans plus, mis à part si un individu arrive à attirer son attention, la loupiote ne se donnera pas la peine d’engager quoi que ce soit, trop dans son monde et ses petits projets pour se faire. Mais, elle reste un bébé, avec ses quarts d’heures de folie et ses peurs futiles. Sa naïveté et son besoin de contact qu’elle ne peut réprimer. Le brusque changement de situation, couper les ponts avec sa famille, sa mère, particulièrement, la rend malheureuse. Bien qu’elle cache cette peine au fond d’elle, il lui arrive de hurler son désespoir, prenant le risque d’attirer des prédateurs. Sa soif de vengeance la pousse à bien des extrémités. Si elle doit mourir d’une chose, ce sera bien de cela. Alors qu'elle s'était jurée de ne pas retourner vers sa famille, elle intégra les Rubis afin de mener son plan à bien. Ainsi, elle se força à rejoindre les Rubis, alors qu'elle répugnait à le faire. Son père... Elle en a honte, elle lui voue une haine farouche, véhicule sa vengeance. Mais, ne dit-on pas, plus on hait, plus on aime ? Concernant les relations entre elle et sa mère, c'est relativement complexe. Gladiatore ne semble pas se soucier de la chair de sa chair. Bien qu'Oblivion ne le montre pas, la distance que la mère met entre elle et ses petits lui fait mal. Elle aime, tout comme sa mère, la pluie. Adore chasser et se battre. Oblivion hait, par dessus tout, les familles unies. Ces dernières lui rappelant à quel point la sienne est, et restera déchirée.
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