Après une petit absence de ma part dans les proches contrés, me revoici. J'avais, durant un certain temps, été très malade, un espèce de gros rhume qui m'avait empêcher de sortir. Et maintenant qu'il était finit, je me relevait, en pleine forme, pour me balader un peu à l'air libre. Les oiseaux chantaient, leurs voix aigues ne me cassaient pas les oreilles pour une fois, car il faut dire que je ne les avais pas entendu depuis assez longtemps, et leur voix m'avait surement manquée. Un bâillement étira ma grande gueule, jusqu'à ce qu'elle s'ouvre, laissant place à d'immenses dents blanches et pointues, grandes et coupantes. De redoutables dents, pour faire plus court. Je me dirigeais n'importe où, mais je faisais attention de ne pas entrer sur des territoires ennemis. Je remarqua donc, à mon grand soulagement, que mes pas m'avaient guidés vers les terres libres. Bon. Au moins, je n'aurais pas d'ennuis comme ça. Mais rien n'était encore sûr, enfin, je doutais que quelqu'un ne se mesure à moi, quand on voit mon impressionnante musculature, on comprend tout à fait pourquoi je me montre toujours sûr de moi, et que je n'ai jamais peur.