« Il n’y a de bien en cette vie que l’espérance d’une autre vie. » ||Pv Clei'

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Bridgess~

• Que dire, que tu avais été abusé, agressés, tout sa en une matinée, même si cela faisait bien quelques semaines, tu y pensais, tout les jours sans relâche. Du matin en te levant, jusqu’au soir en te couchant, son visage te hantait, ce qui s’était passé te hantait.. Du moment où il a posé ses pattes sur ton dos, jusqu’au moment ou il est parti sans se retourner. Tu ne voulais plus penser à ce qui s’était passé, à ce moment qui allait surement te valoir des années de souffrances et de mensonges. Attendais-tu des enfants ? Tu n’en savais rien, tu avais certes grossit un peu mais tu ne voyais rien d’autres, et puis c’était peut-être car tu mangeais plus qu’auparavant. Tu voulais des enfants, mais non, pas comme sa. Par contre, tu n’en voulais pas à l’assassin opale, ce n’était pas sa faute et tu le savais toi ma chère Bridgess, tu le savais mieux que tout le monde, tu l’avais vu dans ses yeux. Oui, tu te souvenais même de son regard, ses yeux azur reflétaient du regret et de l’étonnement, il était perdu, et se demandait comment il avait pu faire cela.

• La compréhension, tu connaissais ce caractère étant donné que tu le possédais, mais tu l’avais un peu trop. Quoi qu’on te face, tu savais qu’il y avait toujours une raison derrière ça. Que ce soit ta faute ou non, tu n’était pas rancunière, en fait, pour que tu détestes quelqu’un il en fallait beaucoup. Souvent on te disait que tu étais trop gentille, mais tu étais comme sa, même étant rubis, tu t’étais certes renforcées mais tu ne changerais jamais. Ton instinct de saphir resterait toujours là, car oui tu y étais dans ton enfance. C’était peut-être étrange que la bêta Rubis soit une louve agréable, mais c’était surtout grâce à ta sagesse qui était grande lorsque tu voulais. Tu profitais juste de la vie, mais était sérieuse lorsqu’il le fallait. En réalité, ton caractère était dur a cerner, à la fois gentille, dur lorsqu’il le fallait, sérieuse a certains moment et même gamine parfois. Mais bon, on devait te prendre comme tu étais, ou pas du tout.

• Tu ne savais pas où te dirigeais tes pattes, mais qu’importe, elles allaient, avançaient plus ou moins rapidement. Allant dans le sens du vent, des feuilles allant dans ton pelage.. La pluie battant comme jamais, tu étais trempée, et alors ? Tu aimais l’eau, le soleil, les nuages ou les éclairs, ce n’était qu’un temps qui changerait après tout. Tu arrivais à un endroit qui regorgeait de rumeurs, plus farfelues l’une par rapport a l’autre. Certains disaient que ce lac pouvait ressusciter des morts, d’autres qu’il soignait les blessures. Il y en avait tellement, tu n’avais pas encore eu le temps de toute les connaître. Tu posais tes pattes en avant, les allongeant, puis ton corps suivait de près. Posant ta tête sur tes pattes tu pensais en regardant la pluie tomber. Ruisselant sur ton beau pelage brun.

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Ce jour n'est pas aussi beau que les autres, le soleil se meurt. Agonisant derrière d'épais nuage presque aussi sombre que ton pelage. Ceux-ci éprouvent leurs mécontentement en déchaînant leurs pluie sur Wolf Temporal. De ce temps, tu aimes rester à l'abri dans ta grotte, mais depuis plusieurs semaines tu n'étais plus vraiment toi-même. Tu repenses sans cesse à cet acte que tu as fais. Tu en rêve la nuit, où plutôt ce cauchemar te hante toutes les nuits. Le jour, des tonnes de questions défilent dans ton esprit. Où est-elle, en a t-elle parlé, et porte t-elle des petits ? Dans quel merdier t'es-tu foutu mon pauvre Cleithos, toi qui ne t'es jamais imaginé avoir de descendance. Tu as toujours dis que tu allais mourir, sans plus rien laisser derrière toi mis à part ta vieille carcasse. Eh voilà que tu engendré des petits, que tu ne connaîtra jamais, certes. Mais lorsque tu rendra ton dernier souffle, ton esprit ne sera pas occupé à imaginer ce qu'est le repos éternelle. Non, il sera tourné vers tes enfants, tu leurs soufflera un adieu, qu'ils n'entendront jamais. Puisque, même si tu as " une famille" elle ne sera jamais à tes côtés. Toi de ton côté tu penseras surement, sans cesse à eux, et qui sait tu les apercevra peut-être un jour de loin. Tu sera que se sont tes petits, mais eux, ne seront jamais qui tu es. Si la mère se refuse de te désigner du museau et de te dire que tu es leur père, alors ils ne seront jamais qui tu es. Qui sait, tu te fera peut-être même remplacé par un loup, qui se fera passé pour leur père biologique. Toutes ces pensées te font si mal, te dire que même en ayant procréer, tu n'auras jamais de famille. Mais à quoi bon ce rendre si mal Cleithos ? Après tout, tu ne t'es accouplé qu'une fois avec elle. C'est rare que sa est pris du premier coup! Elle n'a surement aucuns petits dans le ventre, et se serait même plus que préférable. Tu pourras reprendre ta vie normalement, sans plus aucuns tourments.
Ton pelage humide, voir même trempé à présent, tes yeux rivé sur le sol. Tu relève tes si beaux yeux océans, pour repérer l'endroit où tu es. Le territoire rubis, tiens comme par hasard! Enfin, profites en pour rendre une visite à ta seule amie, Hécate. Lui parler de tout cela, t'enlèvera un poids sur la poitrine. Mais avec cette pluie il t'es impossible de la retrouver par l'odorat. Tu dois donc errer sur les terres, en cherchant à l'aveugle ton amie.

Bientôt une silhouette s'offre à toi, couché au bord du lac de sang. Tu plisse les yeux, mais tu ne vois toujours rien. Tu décides d'avancer jusqu'à ce loup couché, qu'est-ce que tu risques après tout ? Toi qui n'a peur de rien! Mais quelle en fut la surprise, lorsque tu te retrouvas à quelques centimètre de cette silhouette, à présent identifiable. En cherchant Hécate, tu n'as pas pensé une seule seconde, que tu pourrais tomber sur elle...La louve qui hantait tes esprits depuis ce fameux matin, était à présent sous tes yeux. Ton premier réflexe à était de fixer son ventre! Elle à prit un peu de poids, ton coeur rate un battement, tu penses directement à une grossesse. Tes pattes reculent, oui tu recules tout en ne la lâchant pas des yeux. Ton regard neutre d'habitude, affiche de la surprise, de la peur, de la culpabilité et du pardon...

_" T-Toi...J-Je...Désolé, je ne restes pas plus longtemps."

Tu recules encore un peu, mais tes yeux eux, ne lâche strictement rien. Ils l'a détaillent, la scrute. La pluie se calme légèrement sur vous, et quelques rayons fins de soleil viennent vous éclairer...

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Bridgess~

• L’avais-tu dis a quelqu’un ? Non, jamais tu n’en n’avais parlé, en réalité depuis ce jour là tu étais resté seule, à marcher, réfléchir, penser, a ton passé, ton présent et donc ton futur. Car tout ce qui a été le passé, à des répercussions sur le présent et le futur, et tu le savais ça. Qu’allais tu faire si tu étais réellement enceinte, qu’adviendrait-il de toi, des bébés.. Et de ce loup qui ne voudra certainement jamais connaître ses bébés. Pendant un instant tu eu un regard triste, voir même une larme, sans te rendre compte qu’un loup n’était pas loin. Tu étais une louve minable, une bêta pathétique, et une rubis ignoble. Tu n’étais rien, tes parents devaient avoir honte de toi, enfin, tes parents adoptifs. Tu commençais a comprendre pourquoi tu avais été abandonné à la naissance, il aurait mieux fallut que tu ne survive pas, et resté seule, dans le monde extérieur pour toujours.. Tu avais causé des pertes, de la tristesse et de la souffrance. Jamais tu n’avais voulu sa. Et que dire, concernant ce qui s’était passé avec l’assassin Opale, rien, a part que c’était encore et toujours ta faute.

• Tu sentais un regard persistant sur toi, comme si on essayait de voir qui tu étais de loin. Tu ne compris pas, mais tu ne bougeais pas pour autant. Tu préférais rester dans tes pensés qui se noircissait au fil des minutes. Ne pensant qu’a la mort, a la fin, si tu n’étais pas née, tout aurait été bien plus simple. Puis tu soufflais, reprenant tes esprits, si tu es née c’est qu’il y a une raison à cela ma chère Bridgess. Mais que ferais-tu si tu étais vraiment enceinte, si tu attendais réellement les enfants de cet opale. Que dirais tu.. Les rubis te poseront certainement plusieurs questions, qui t’a fais sa, qui t’a rendu enceinte. Mais qu’allais-tu répondre ? Rien, tu ne dirais seulement que c’était un vagabond que tu ne connaissais pas.. Tu ne voulais pas qu’une nouvelle guerre éclate, alors que tout était ta faute. Et ulysse, il se ferait un plaisir de te faire la morale, toi qui lui fais tant de fois..

• Tu le sentais, un loup t’approchait, un Opale vu son odeur.. Que faisait-il sur les terres Rubis. Tu rouvris tes yeux doré, doucement et les posait sur le loup noir avant de te figer. Tu le reconnaissais, c’était lui, lui qui t’avais abusé, lui qui hantait tes nuits et tes jours. Tu ne bougeais pas, ne disais rien, avait-il remarqué que tu avais grossis ? Tu ne savais pas. Mais pendant que le loup opale dont tu ne connaissais pas le nom approchait, tu sentais quelque chose dans ton ventre. D’inhabituel, tu sentais que sa bougeais, qu’il y avait de la vie en toi. Pourquoi est ce que sa ne s’était pas déclenché avant ? Les petites vies en toi, sentaient-elles la présence de leurs géniteurs ? Tu trouvais sa hallucinant, mais également magnifique. A peine né, tu pris conscience grâce à eux, que tu ne pouvais te séparer de petits êtres, qui grandissaient en toi..

• A présent, tu regardais le loup opale, dans son regard tu vis tellement de sentiments étrange par rapport à son caractère. Il regardait ton ventre, puis tu le vis reculer en fixant tes yeux. Son regard habituellement neutre reflétait de la surprise mais aussi de la peur, de la culpabilité et.. Du pardon ? Il était trop fier pour dire ce qu’il ressentait, tu le savais, alors tu ne dis rien, tu lui fis juste un sourire compréhensif. Tu ne lui en voulais pas, non pas le moins du monde, car tu étais aussi coupable que lui. Voir plus, il s’excusait car il ne resterait pas plus longtemps, tu étais un peu déçue mais tu ne dis rien.. Tu ne voulais rien dire, ton regard voulait tout dire, tu comprenais ce qu’il ressentait, et tu avais également du pardon dans tes yeux à la couleur du soleil.

_" T-Toi...J-Je...Désolé, je ne restes pas plus longtemps."

• Mais tu savais bien qu’il ne dirait rien, et qu’il partirait, alors que faire, que dire.. Tu pensais à une phrase, qui te tourmentait depuis plusieurs minutes, sans lâcher ses yeux. Tu ouvris la gueule en parlant d’une voix douce et aimante.

« - Je porte en moi, les descendants du plus grand assassin Opale. Qu’est ce que je suis censé ressentir ? Que dois-je faire ? »

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Pars, quitte ces terres et oubli tout. Oubli cette louve, oubli ce qui c'est passé ce matin là. Oubli la vision de son ventre, qui a prit quelques rondeurs. Laisse la derrière toi, comme tu l'as fais ce jour là. Il en serait mieux ainsi Cleithos, si tu retournes sur tes pas, tout ira mieux. Tu pourras reprendre le cours de ta vie, sans que ton esprits soit tourmenté. Tu suis mes conseils et commence alors à partir, retournant sur tes pas. Mais sa voix, pleine de douceur se fait entendre, cette voix mélodieuse te retiens. Tu l'écoutes par curiosité..

« - Je porte en moi, les descendants du plus grand assassin Opale. Qu’est ce que je suis censé ressentir ? Que dois-je faire ? »

Voilà, elle le confirmait. Elle confirmait le doute que tu avais eu, en voyant son ventre. Confirmant cette grossesse que tu redoutais tant. Il était rare qu'avec un seul accouplement, des petits soient directement en route. Si rare, et pourtant il a fallut que cela t'arrive. D'ici quelques mois des petits nouveaux-nés allaient montrer le bout de leur museau. Tes petits, Vos petits...Tu allais être père, et cela t'effrayais. C'était quelque chose de nouveau, tu n'avais jamais connu sa auparavant. Seulement, même si cette louve acceptait que tu reconnaisses les loupiot à venir. Vous ne serez jamais une famille unis. Elle rubis, toi Opale. Deux meutes différente. Tel un couple de divorcé, tu ne pourras les voir que quelques fois, et cela t'effrayais de plus en plus! Tu as entendu parlé de l'histoire tragique de Genesis. Durant son absence, sa famille entière à était tué, à l'heure par on se sait qui ou quoi. Devant ses yeux, son seul loupiot survivant c'est fait entraîné vers une mort certaine. Toi, qui ne sera jamais auprès d'eux jour et nuit. Si cela arrivait ? Si tu te retrouvais nez à nez avec leurs corps sans vie ? Comment Genesis a-t-il put survivre à une telle atrocité ? Tu fermes les yeux, et imagines cette scène. Cette louve, morte en ayant protégée comme elle le pouvait, votre descendance. Et eux, ces petites boules de poils, si fragiles et innocentes, morte si jeunes. Non, tu ne pourrais supporter cela. Même la mort de la louve te serais insupportable , car tu sais au fond de toi, qu'avec le temps tu allais apprendre à l'aimer. Eh puis elle reste la mère de tes enfants. Le grand loup blanc est vraiment quelqu'un de fort, et courageux. Tu le respectais pour sa force, personne ne pourrait survivre à une telle horreur, et pourtant aujourd'hui il est Alpha. Tu avais peur qu'elle soit enceinte, cette peur c'est envolé mais en laissant une nouvelle apparaître. Tu as si peur, de ne pas remplir ton rôle correctement. Ta seule option serait de quitter la meute et de devenir solitaire. Ainsi, tu pourrais veiller sur eux, même si c'est de loin. Que dois-tu faire toi aussi..? Vous êtes tout deux perdu, et dans une situation très complexe.
Tu te retournes alors et fixe se regard, qui te dis tant de choses. Mais tu n'y prêtes pas attention, tes yeux se reporte sur son ventre. En elle, grandit lentement vos petits. Tu ne sais pas si tu es heureux, ou détruit de cette nouvelle. Mais, tu t'imagines déjà ne pas survivre si un malheur leur arrivait. Alors j'imagines, que tu aimes déjà ces petits, qui ne sont pas encore là ? Et cette louve, oh tu te sens si coupable de l'avoir entraîné là-dedans, à cause de pulsions. Toi qui pourtant, se moquait de tout, qu'importe ce qui arrivait aux autres, toi que toi tu restais libre. Tu pourrais la laisser derrière toi, la laisser se débrouiller avec les petits. La laisser assumer seule les conséquences. Tandis que toi, tu pourrais retourner chez les Opales et vivre comme-ci rien n'était, libre et sans obligation. Mais non, tu t'y refuses, tu veux être là pour eux, pour elle. Tu l'apprécie, car elle n'a pas l'air de t'en vouloir. Malgré qu'elle soit rubis, elle à l'air d'avoir le coeur aussi pure qu'un nouveau-né qui n'a rien à se reprocher. Tu retournes alors près d'elle, tu fais le vide dans ta tête. Tu oubli vos rang respectif, tu oubli qui tu es. Pour te laisser aller à tes sentiments...Tu frotte doucement ta tête à la sienne. Son contacte t'es à présent agréable, tandis que ce matin là, tu ne l'a supportais pas. Son odeur te calme et t'apaise, tandis qu'autrefois, il te rendait fou de rage...

_" Je ne sais pas ce que tu dois ressentir, personnellement j'ai peur. Toi Rubis, moi Opale. Je ne pourrais pas être continuellement à vos côtés, et j'ai peur qu'il m'arrive la même chose qu'à Genesis. J'i si peur de ne pas remplir parfaitement mon rôle, d'être incapable de vos protéger..."

Tu relève la tête et plonge ton regard océan dans le sien.

" Ce que tu dois faire, eh bien, ce que tu juges le mieux pour toi et les petits. Si tu juge que je ne dois plus jamais revenir, ne jamais chercher à vous revoir. Alors je le respecterai. Une mère sait toujours ce qui est le mieux pour elle et ses enfants..."

Tu recules doucement, ne la lâchant toujours pas des yeux.

"_j'aimerai juste te dire mon nom, Cleithos..."

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Bridgess~

• Tu le regardais commencer a faire demi tour, à revenir sur tes pas, mais s’arrêtant lorsque tu lui parlais. Il t’écoutait, tu en étais certaine, et il devait être surprit et effrayé, tu le voyais dans son regard. Il était perdu, il avait peur, et il regrettait. Un, deux, plusieurs enfants, tu n’en savais rien, mais tu savais qu’une vie au moins était en toi. Tu ne savais pas quoi faire, ni quoi ressentir, seulement que tu aimerais cet enfant, car c’est le tiens, enfin.. Le votre. Tu ne pourrais empêcher cet opale de le voir. C’était lui le père, sans lui ils ne naitraient pas. Alors, tu ne te permettrais jamais.. Tu pensais, c’était rare qu’une louve tombe enceinte la première fois, et pourtant c’était arrivé, à toi. Et comment feriez vous, vous qui êtes si différents, que ce soit de meute, de caractère ou même de pelage. Comment vivrez vous, comment vos enfants le vivront.. Mais tout sa, ne changera rien, dans tout les cas, ils viendront, et tu les aimeras du mieux que tu pourras, les élevant comme tu peux.

• Il semblait perdu, et avait peur, de quoi ? Tu n’en savais rien, il semblait si mystérieux, si étrange.. Peut-être avait-il peur, pour ses futurs enfants, pour eux, peut-être les aimait-il déjà, ou bien peut-être qu’il ne voudra jamais d’eux. Tu ne le savais pas, tu ne lisais pas dans les pensées des loups. Tu te relevais doucement, te mettant droite et regardant le loup aux yeux azur. Tu gardais ton sourire compréhensif, pourquoi ne pas le garder après tout. Tu aimerais savoir quelles étaient ses pensées, mais tu n’osais pas lui demander, ayant encore peur de l’énerver. Il se retournait et fixait ton regard qui n’avait pas changé, il regardait a nouveau ton ventre.. Tu te demandais pourquoi il restait, pourquoi ne partait-il pas comme il l’avait prévu.. Il était vraiment étrange, allait-il assumer ou pas, il te détestait il y avait à peine quelque semaine. Qu’est ce qui avait bien pu changer ? Peut-être les louveteaux, peut-être que c’était car il voulait être un père pour eux. Puis il te regardait et frottait sa tête a la tienne, tu trouvais sa étrange, tu le laissais faire, appréciant et souriant.

_" Je ne sais pas ce que tu dois ressentir, personnellement j'ai peur. Toi Rubis, moi Opale. Je ne pourrais pas être continuellement à vos côtés, et j'ai peur qu'il m'arrive la même chose qu'à Genesis. J'i si peur de ne pas remplir parfaitement mon rôle, d'être incapable de vos protéger..."

• Tu l’écoutais, il avait donc réellement peur, et oui vos meutes étaient ennemies depuis la nuit des temps, et pourtant il aimerait s’occuper des enfants. Genesis, tu ne le connaissais pas, mais tu connaissais son histoire si triste, il avait peur de te retrouvé toi et les enfants morts.. Il relevait la tête, plongeant son regard azur dans le tiens. Tu lui sourit et frottait aussi ta tête à la sienne.
_" Ce que tu dois faire, eh bien, ce que tu juges le mieux pour toi et les petits. Si tu juge que je ne dois plus jamais revenir, ne jamais chercher à vous revoir. Alors je le respecterai. Une mère sait toujours ce qui est le mieux pour elle et ses enfants..."

_" j'aimerai juste te dire mon nom, Cleithos..."

• Il avait raison, c’était à toi de juger quoi faire, tu ne lui diras jamais de ne plus jamais revenir.. Tu es une mère, enfin bientôt tu le seras, et pour toi le plus important est que leurs enfants aient un père et une mère. Qui les aime, tout les deux. Son nom, tu le sus enfin, Cleithos.. Tu le connaissais, enfin par les rumeurs.. Il n’était pas du tout comme les rumeurs le disaient. Tu souriais encore.

« - Tu as raison, je ne t’empêcherais jamais de venir les voir, car je souhaite qu’ils vivent avec deux parents, qu’ils soient ensemble ou non. Je souhaite qu’ils soient aimé, et surtout qu’ils soient heureux. Mon nom à moi, est Bridgess.. Dit moi seulement une chose, assumerais-tu ces enfants ? »

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Pourquoi as-tu dis ton dis ? Abrutit! Ta réputation te suis, et elle c'est propagée aux quatre coins de Wolf Temporal! Une réputation de loup au tempérament solitaire. Manipulateur comme personne, se servant de cet atout pour arriver à ses fins. Et plus encore, un loup très doué au combat, connaissant les moindres techniques, et tuant à sa guise. Quand l'envi lui prend. Comment veux-tu qu'après cela, elle te laisse la moindre chance pour voir tes petits ? Même si tu n'as pas lieu de les voir, tu ne le mérites pas avouons-le !! Tu as quand même abusé de cette louve, même si au fond tu ne désirai pas faire une telle chose. Même si elle n'a pas l'air de t'en vouloir, les faits sont là. Ces petits sont le fruit d'une horreur, et non pas d'un amour. Tous ce que je te dis, te fais réfléchir n'est-ce pas ? Tu t'en veux encore plus au fond, et cela se manifeste par ton regard. Il se perd, peu à peu. Tu fixe la louve sans vraiment la regarder, tu es perdu, dans cet esprit qui te tourmente depuis des jours! L'idée de ne peut-être jamais connaître ces enfants, te fais si mal au fond. Déclarant ton nom ainsi, tu avais ruiné le peu de chance que tu avais. Pauvre Cleithos...Tu l'as bien cherché cette douleur, il faut qu'on se le dire!

« - Tu as raison, je ne t’empêcherais jamais de venir les voir, car je souhaite qu’ils vivent avec deux parents, qu’ils soient ensemble ou non. Je souhaite qu’ils soient aimé, et surtout qu’ils soient heureux. Mon nom à moi, est Bridgess.. Dit moi seulement une chose, assumerais-tu ces enfants ? »

Eh beh, cette louve est bien plus tarée que ce que je pensais ! Accepté un être horrible comme toi, auprès d'elle. Ou du moins que tu vienne rendre des petites visites. Je ne t'aurai jamais accepté, moi personnellement. Mais bon, tu t'en moques, toi pour le moment tu te réjouis de l'entendre te dire cela. Même si tu ne réalises pas tout de suite ce qu'elle te déclare. Cela met un peu de temps avant de monter à ton cerveau et que celui-ci déchiffre ce que sa voulait dire. Mais quand le message à était transmit, tu as directement retrouvé cette éclat dans tes yeux. Ta tête c'est relevée de surprise. Tu la fixe, heureux, surprit, abasourdit. Tu regrettes toujours de plus en plus, d'avoir fait tant de mal à cette louve nommé Bridgess, qui à un coeur si pure. Contrairement au tien qui est gelé, et plongé dans les noirceurs qu'est les ténèbres. Le sien doit être illuminé par l'éclat d'un soleil, et si chaud...Elle fera une si bonne mère, c'est sûr et certain! Mais toi, toi ce n'est pas encore dit ! Il y aura surement plus d'un petits qui va te haïr. Tu vas tellement souffrir si cela arrivait, mais que veux-tu. Il est normal qu'un enfant, haïsse un père qui l'à engendré par un viol. Malgré qu'ils te haïront, toi, tu vas les aimer c'est certains. Tu les aimes déjà tant d'ailleurs. Tu as tellement hâte de les voir arriver, de voir à quoi ils vont ressembler. Ta famille, ta toute première et réellement famille...C'est pourquoi, lorsqu'elle te demande si allais aimer cette progéniture, tu n'hésites pas une seconde à répondre...

_" Bien entendu que je vais les aimer! Je les aimes déjà d'ailleurs. Bridgess si tu savais, comme je m'en veux de t'avoir fais sa. Tu sais j'aurai aimé qu'ils viennent d'une tout autre manière. J'aurai aimé que l'espace d'une seconde, je ne soie pas ce monstre, et que je fasse connaissance avec toi. Qui sait, ils auraient put venir d'un amour. Mais maintenant qu'ils s'apprêtent à faire leurs entrées, je suis heureux au fond qu'ils soient là. Je vivrai avec la douleur d'avoir fait ce que j'ai fais. Mais cela ne jouera pas sur le fait, que je suis leur père et que je remplierai mon rôle du mieux que je le pourrai. Je t'en remercie d'ailleurs, de me permettre de les connaître. Je t'en serai éternellement reconnaissant."

Une fois de plus tu reviens à la charge. La câlinant cette fois, de la plus grande tendresse dont tu puisses faire preuve. Pas facile pour un loup qui n'a jamais connu sa! Mais tu fais de ton mieux, tu ne veux plus être brute avec elle. Tu en a déjà tant fais. Tu ne veux plus la repousser, l'agresser ou même lui adresser un mot de travers. Elle ne le mérite pas, et puis, tu commences même à l'apprécier, cette louve si belle et si chaleureuse. Sa douceur, son calme t'apaises, toi la brute qui n'a semé jusqu'ici, que le mal autour de toi.

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Bridgess~

• Et s’il te manipulait, comme il le faisait avec tout le monde ? Non, tu le savais, il ne le faisait pas. Il s’en voulait tellement pour ce qu’il t’avait fait, que tu te doutais qu’il ne te ferait plus jamais de mal. Que ressentait-il, tu ne le savais pas, et moi non plus d’ailleurs mais toute les deux nous nous le demandions. Tu ne cessais de le regarder, il fallait l’avouer il était mignon à s’en vouloir autant. Tu savais qu’il pourrait te tuer d’un seul coup de croc, mais tu le sentais, il pouvait avoir ta confiance que tu ne confiais qu’à peu de personnes. Pourquoi lui autorisais-tu à voir ses enfants en fait ? Moi à ta place.. Ah zut, je ne suis pas à ta place, en effet. Tu voulais le laissé voir ses enfants car en premier c’était le père, même s’ils ne sont pas le fruit d’un amour, qu’importe ? Ils vont naître alors autant prévoir tout ce qu’il faudra. Les bébés auront besoin d’un père, tu avais pensé à cela, mais aussi au fait que l’opale souffrirait de ne pas voir ces bébés, et ça tu t’en doutais. Tu n’es pas un monstre, tu ne pourrais pas l’en priver, non au contraire tu le harcèlerais pour qu’il puisse voir sa descendance. En avait-il d’autres ? Tu te le demandais souvent en réalité..

• Il devait te prendre comme une folle, comme tous ceux qui te connaissent ou bien qui ont essayé de te connaître mais tu t’en fiche. Tu te fiche de ce que pense les autres de toi, tu es comme tu es, et si tu ne leurs plait pas, tant pis. Ce n’est pas ton problème, mais eux qui sont compliqué. Tu espérais que l’assassin opale n’oublierait pas ses enfants, quoi que, tu doutais un peu, tu étais certaine qu’on ne pouvait pas oubliée une chose pareille tout de même ! Il fallait aussi espérer qu’il vienne souvent voir tes enfants, parfois tu lui ramènerais aussi bien entendu.. Tu regardais ses yeux, il semblait si heureux, cela t’emplit de joie. Il avait toujours autant de sentiments en lui, en ce moment nous avions la joie, la surprise et l’abasourdissement.. Au moins il était heureux de pouvoir bien voir ses enfants. Après tout, quels parents ne voudraient pas voir leurs enfants ? Les laisseraient, sachant qu’ils sont quelque part non loin de toi et que tu puisses les croisés à tout moment ? Personne, quoi que.. Si.. Tu en connaissais, tes propres parents, avant que Météor et Shaya ne t’adoptent.. Il y avait eux, ils t’ont abandonné et fait souffrir, tu te devais de survivre seule.. Tu eu raison de faire sa, la preuve, tu allais être maman ! Bien entendu que ta seule condition était que l’opale aime ces enfants, mais tu ne doutais pas une seconde que ce ne serait pas le cas. Bizarrement, tu commençais à connaître son fonctionnement. Tu l’écoutais, tout en souriant.

_" Bien entendu que je vais les aimer! Je les aimes déjà d'ailleurs. Bridgess si tu savais, comme je m'en veux de t'avoir fais sa. Tu sais j'aurai aimé qu'ils viennent d'une tout autre manière. J'aurai aimé que l'espace d'une seconde, je ne soie pas ce monstre, et que je fasse connaissance avec toi. Qui sait, ils auraient put venir d'un amour. Mais maintenant qu'ils s'apprêtent à faire leurs entrées, je suis heureux au fond qu'ils soient là. Je vivrai avec la douleur d'avoir fait ce que j'ai fais. Mais cela ne jouera pas sur le fait, que je suis leur père et que je remplierai mon rôle du mieux que je le pourrai. Je t'en remercie d'ailleurs, de me permettre de les connaître. Je t'en serai éternellement reconnaissant."

• Il les aimerait, enfin.. Il les aime déjà apparemment, tu ne trouvais cela pas étrange étant donné que tu le vivais en même temps. Il te le dit enfin, il s’en voulait, tu ne voulais pas qu’il s’en veuille mais il avait enfin pu te le dire.. Bien sur, tu aurais espéré que ces enfants naissent d’un amour, qu’ils n’arrivent pas dans ces conditions, mais au moins ils auront des parents qui l’aimeront de toute leur âmes et plus encore. Tu souriais à ces paroles, il était si touchant, il voudrait être le meilleur père qu’il soit, comme tous les autres avant lui. Mais pour toi, ce serait le meilleur, car c’est le père de Vos enfants, à tout les deux.

« - Tu sais, je ne t’en veux pas Cleithos. Ils auraient pu arriver d’un amour, mais qu’importe ? Maintenant ils arrivent, et nous seront là pour les guider quoi qu’il se passe. Ne me remercie pas de cela, c’est tout à fait normal, tu es leur géniteur, celui sans qui ils ne seraient jamais là et je t’assure que je suis heureuse de les attendre. Mais dit moi, comment ferons-nous ? Ils seraient rubis jusqu’à qu’ils soient assez grand pour choisir, ou bien Opale avec toi ? Mais dans tout les cas, je souhaite qu’ils nous voient tout les deux. »

• Tu fus surprise, il vint te câliner avec une grande tendresse et cela se voyait qu’il n’y était pas habituer. Tu lui apprendrais, et tu lui montrerais toi, ce que c’est que la véritable tendresse pure et douce. Nous ne pouvons vivre sans l’avoir connue au moins une fois. Alors tu t’approchais de lui, passant ta langue délicatement sur sa joue, puis tu le câlinais également avant de frotter ta tête doucement à la sienne en souriant. Tu l’appréciais, malgré que ce soit un opale.. Après tout, toi, tu n’as rien contre les opales, non absolument rien, ils ne t’ont rien fait ni à toi ni à ta famille, seulement au père de ton ami d’enfance.. C’était compliqué, il réagirait assez mal en plus.. Enfin bref. Profitons de ce moment emplit d’amour et de douceur.

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« - Tu sais, je ne t’en veux pas Cleithos. Ils auraient pu arriver d’un amour, mais qu’importe ? Maintenant ils arrivent, et nous seront là pour les guider quoi qu’il se passe. Ne me remercie pas de cela, c’est tout à fait normal, tu es leur géniteur, celui sans qui ils ne seraient jamais là et je t’assure que je suis heureuse de les attendre. Mais dit moi, comment ferons-nous ? Ils seraient rubis jusqu’à qu’ils soient assez grand pour choisir, ou bien Opale avec toi ? Mais dans tout les cas, je souhaite qu’ils nous voient tout les deux. »

Ces paroles, tu n'aurai jamais crus les entendre un jour. Dans ta vie si solitaire qu'elle soit, malgré que tu sois un loup de meute. Si un jour on t'avait dit, qu'il t'arriverait de parler progéniture avec une louve, jamais tu ne l'aurai crus. Comme quoi, rien n'est impossible finalement. Tu sais, au fond je suis heureuse pour toi, à force de décrire tes émotions et ta vie, je me suis attachée au loup sanguinaire que tu es. Je suis aussi qu'il sommeil en toi, un loup ne demandant qu'à posséder sa propre famille. Ne serait-ce pas pour cette raison, qu'il t'était venu l'idée de prendre le contrôle de la meute Opale ? Étant l'alpha, tu aurais eux l'impression d'être le père, le grand chef de cette grande famille. Mais aujourd'hui, le simple rang de bêta te vas. Tu voulais atteindre ce rang pour te rapprocher de Kant et ensuite le tuer plus facilement. Mais tout avais changé en ce jour, tu avais trouvé bien mieux. Ta vraie famille, liée par le sang, et sans avoir à tuer qui que ce soit, pour occuper le post de celui qui allait tous les protéger. Tu as si hâte, qu'ils soient tous là...Vos petits.

La jeune louve, semble apprécier l'effort que tu fais, pour être tendre avec elle. Effort ?Non je ne devrai pas dire sa. Tu ne te forces pas à être gentil envers elle, tu le veux. Tu n'es seulement pas très doué en ce qui concerne les manières douces. Les gestes qu'elle eut à ton égard, te procuras une sensation bizarre. Cette langue qui pense lentement sur ta joue, ces petits câlins...Cela fait quatre ans, jour pour jour que tu n'avais pas reçus de la tendresse pareil. Comme je l'avais dis plus haut, ta propre mère ne t'en à offert qu'à tes premiers jours. Depuis, tu n'avais connu que le goût du sang, ton corps heurtant violemment celui de tes adversaires. Que de violence, mais au fond, ce manque de savoir faire, ne serait-il pas un danger pour les petits ? Seras-tu te montrer doux, attentionné et les câliner sans leurs faire de mal ? Bien entendu tu ne veux pas leur faire quoi que ce soit. Mais il se pourrait qu'en voulant offrir une caresse à l'un d'eux, tu y ailles trop fort et lui fasse mal ? Une boule au ventre se forme, sa y es, ils sont pourtant encore loin de voir le jour, mais tu angoisses terriblement. Tu doutes de tes compétences, seras-tu réellement à la hauteur ? Ne serait-il pas plus sage, que tu veuilles sur eux, de loin ? Utilisant ton don pour le combat, ton plaisir pour la violence, à la protéger tout en restant à distance ? Oui, ce serait peut-être mieux, mais tu veux également les connaître ces petits. Partager de bons moments avec eux, et qu'ils te connaissent également, ne prenant pas n'importe quel autre mâle pour leur père.
Tu recules un peu, pour ainsi plonger ton regard océan, dans celui d'or de Bridgess. Elle a raison, comment alliez-vous faire ? Vous n'êtes pas de la même meute, et pour compliquer encore plus les choses, vos meutes ne sont pas du tout en bonne entente. Pour des loups inexpérimentés en ce qui concerne la maternité et paternité, à une telle question. Chacun auraient égoïstement proposé que les petits soit de leur propres meute. Mais étrangement, tu savais qu'elle était le meilleur choix, la meilleure des décision...

" Les petits resteront auprès de toi, c'est une évidence même. Je viendrai te voir à ta tanière régulièrement. Lorsqu'ils seront en âges de se déplacer, je viendrai toujours, mais également, je pourrais vous rejoindre lors d'une balade sur les terres libres. Les laissant découvrir le monde, et on pourra partager de bons moment, tous ensemble comme une famille unie."

eh oui, l'évidence même, c'est bien ce que je disais ! Profitant que la louve soie allongée au bord du lac, tu t'allonges alors à ses côtés. Allant offrir de douces lèches sur son flanc bien gonflé. Et posant quelque fois ta tête tout contre, pour sentir ainsi les petits bouger. C'est léger, mais tu les sens, une sensation de bien être s'empare de toi. Tes yeux se ferment lentement, et tu ne peux retenir ces quelques mots qui s'apprêtent à sortir de ta bouche...

_" Merci Bridgess...Merci de m'offrir ce bonheur..."

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Bridgess~

• Tu étais sincère envers lui, et même si ces enfants ne venaient pas d’un amour, ils seraient aimés, par toi et par lui. Même si ce serait dur, vu votre situation, ce n’était rien. Le plus important était et sera toujours le bonheur de tes.. vos bébés. Depuis qu’ils sont dans ton ventre, tu ne te sens jamais seule, tu sens leurs petits corps bouger en toi.. D’ailleurs ils te donnaient des petits coups, pourquoi ? Tu ne pouvais le savoir, mais tu avais tout de même un petit sourire attendrissant en les sentant. Mais que faire pour que vous soyez heureux, toi, lui et eux.. Il n’y avait pas de solutions, sauf si tu allais chez les opales ? Mais et Ulysse, tu ne pouvais pas abandonné ton meilleur ami depuis que tu es petite.. Sinon tu serais allé chez les opales, ou même en solitaire. Hors non, tu l’avais déjà abandonnée, et tu lui avais promis de ne plus le refaire. Tu savais qu’il t’en voudrait pour cette descendance non voulu, tu le savais, tu le connaissais tellement.. Ce n’était pas ta faute, enfin si, tout était de ta faute en réalité. Tu le savais, tu le saurais, et tu l’assumerais toute ta vie. Comment réagirait le dominant rubis ? Il serait énervé, surtout en connaissant le père. Il voudrait même peut-être les tuer ? Mais jamais tu ne le laisserais faire ! Ah sa non ! Tu les protègerais contre tout, contre tes amis, contre les rubis, contre toi-même.. Contre tout ce qui pourrait nuire à leur vie.

• Ils étaient ta chair et ton sang, ils étaient ce qui te serait de plus précieux au monde. Ils seraient ta vie, tu mettrais tout tes espoirs et tes rêves en eux. Qu’ils soient sadique, pacifiste, doux, méchant, sanguinaire.. Tu t’en fichais, chacun avait son propre caractère, et tu l’accepterais. En parlant de comportement, celui de l’opale était étrange, tu n’arrivais pas à le cerner. Il te grogne dessus, puis a présent il est gentil.. Se force-t-il ? Tu n’en sais rien, en vérité tu ne sais rien de ce loup mais pourtant tu l’apprécie. Connaissait-il le mot amour ? Ou affection ? Tu ne voulais lui demandé, tu ne voulais pas qu’il repense à des choses qu’il ne voulait pas. Tu avais entendu tant de rumeurs au sujet de cet assassin, qu’il était froid, sans cœur, odieux, horrible, sanguinaire, manipulateur.. Alors pourquoi était-il comme cela avec toi ? Il faisait tout pour être doux et gentil.. S’il ne connaissait pas ce qu’était que l’amour et la tendresse, tu lui apprendrais, tu lui feras gouter ce que c’est réellement. Car tu as connus sa, toute ta vie et tu en es bien heureuse, alors à toi de l’apprendre. Tu avais confiance en lui, tu savais qu’il ne ferait pas de mal aux bébés, et puis tu serais là pour veiller à ce qu’il ne face rien de mal. Car même s’il en faisait, ce ne serait pas intentionnel, sa, tu t’en doutais. Il reculait pour plonger son regard océan dans le tiens, il réfléchissait, pensait, mais à quoi.. Tu n’en savais rien, tu lui fis un doux sourire pour lui dire d’avoir confiance, que quoi qu’il arrive, tout se passera bien. Tu étais optimiste. Très optimiste même.

_" Les petits resteront auprès de toi, c'est une évidence même. Je viendrai te voir à ta tanière régulièrement. Lorsqu'ils seront en âges de se déplacer, je viendrai toujours, mais également, je pourrais vous rejoindre lors d'une balade sur les terres libres. Les laissant découvrir le monde, et on pourra partager de bons moment, tous ensemble comme une famille unie."
• Tu garderais donc les petits avec toi chez les rubis, cela ne te gênait pas. Il passerait te rendre visite chez toi, puis au fil du temps lorsque tu te baladeras avec eux, tu t’éloignerais de plus en plus jusqu’à aller chez les solitaires. Tu souriais lorsqu’il parlait d’une famille unie. Tu espérais que tout se passe bien. Il s’allongeait à tes coter, en léchant ton flanc qui gonflait de plus en plus, puis mit sa tête contre celui-ci. Il fermait les yeux, il devait être bien là, c’était pour cela que tu le laissais faire, il était heureux, tu avais confiance, tu étais certaine qu’il ne se forçait pas à présent. Il te remerciait, tu ne le voulais pas, c’était a toi de le remercier, de tout.. Même si ce n’était pas prévu, au final, vous êtes heureux.

_" Merci Bridgess...Merci de m'offrir ce bonheur..."

« -Oui, comme une véritable famille unie.. Ce n’est rien, je te remercie également Cleithos, grâce à toi je suis heureuse, et je ne me sens plus seule.. J’ai plusieurs vies en moi, qui trépignent d’impatience de découvrir ce monde qu’est le notre, ce monde où ils naitront, où ils vivront et grandiront. A nos cotés, ils pourront s’épanouir tranquillement et comme ils le souhaitent. Malgré nos meutes qui sont en froid, nous ferons tout pour les tenir à l’écard de tout sa, de toute cette guerre, nous les protégerons, les aimerons, les éduquerons.. J’ai toujours voulue des enfants tu sais, alors encore une fois, merci.. »

• Toute ta vie tu as voulue des enfants, tu t’étais promise d’en avoir, qu’importe les moyens.. Tu étais bien, sereine, heureuse, et pour la première fois depuis longtemps. Tu ne te sentais plus seule, plus vide.. Oh que non.. Tu le regardais tendrement tout en souriant encore.

Comptes - tu répondre à ce Rp , Cleithos ?

Dp.

Clei' ?