Alors que la nature était encore endormie, de nombreux animaux continuaient d'exister. Les chauves-souris, quelques rats des champs, les chouettes et les hiboux. Tous ces animaux nocturnes venaient de s'éveiller, pour aller se nourrirent et autre. Certains de ses mammifères avaient décidés de vivre de la sorte, en pleine nuit. Ainsi, il y avait moins de chance de croiser ces prédateurs sans pitié. Ces canidés qui adoraient hurler au clair de lune. De son hurlement, il vous glace le sang. Pourtant, au grand désespoir des petites proies, certains de ces chiens sauvages, rôdaient encore à cette heure si tardive. Cleithos en faisait partit. Loup noir au yeux azur, il faisait partit de la meute des Opale. Il n'était donc pas en territoire ennemi, même si parfois cela lui arrivait, de s'aventurer au delà. Mais en cette nuit, il n'avait aucunement l'intention de jouer au loup intrépide. Marchant calmement, prenant le temps de regarder les alentours, et de sentir les odeurs autour de lui. Ce loup au tempérament quelque peu solitaire, se dirigeait droit vers la colline aux marmottes. Pour y faire quoi ? C'est vrai, y aller de pleine nuit était assez idiot non ? Tous ce qu'il risque de faire c'est de les réveiller et d'entendre leurs horrible sifflements. Pourtant, lorsque vous réussissez à tuer l'un d'eux, ils se taisent. Comme pour respecter les quelques minutes de silences, en sa mémoire. Mes ces animaux sont-ils assez intelligent, pour pleurer la mort d'un congénère ? Enfin, on s'en moquait après tout, ce n'était que du gibier. Ce qui compte, c'est qu'une fois le sang versé, ils se taisent. Laissant le prédateur festoyer dans le grand calme.

Après plusieurs minutes de marche, Cleithos était rendu sur les lieux. Aucuns bruits ne se faisait entendre, dormez paisiblement petites marmottes. Rêvés, dans l'insouciance, vous ne vous doutez pas une seconde, qu'une tragédie allait se produire par mis vous. Le canidé leva les yeux, remarquant ainsi que le soleil commençait tout juste sa chevauché dans le ciel. Lui qui voulait manger dans la profondeur de la nuit, c'était raté! Les yeux azur du prédateur changèrent brusquement de direction. Avec ce levé de soleil, une marmotte adulte c'était aventuré hors de son terrier. C'était maintenant ou jamais, rare était les occasions de saisir une marmotte adulte. L'assassin rampa silencieusement, pour ainsi s'approcher de sa proie, et augmenter les chances de l'atteindre. Il continua jusqu'à ce que le petit mammifère ne remarque sa présence, se ruant alors vers l'entrée de sa cachette. Sifflant pour avertir les autres, de la présence du loup, un boucan terrible se fit entendre. Le canidé se releva alors et dans un bond puissant, prit possession de la marmotte entre ses crocs. Il eut un cris strident, puis rien. Les sifflements des autres marmottes avaient cessés, quelques petites têtes se voyaient hors de leur terrier. Ces petits animaux, fixait le carnivore qui commença à déchiqueter la peau de son repas. Était-ce leur mère qui venait de mourir ? Ou bien leur père ? Qu'importe, il n'avait qu'à être plus prudent, il serait peut-être encore en vie. Dans le calme absolu, Cleithos savourait le prix de ses efforts.

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L

a nuit venait de tombé, c’était l’heure pour toi de sortir. En effet, tu appréciais surtout la nuit, et sortir le soir. Il y avait beaucoup moins de loups que la journée et alors tu es très tranquille. Tes pattes allant doucement, et avançaient lentement car tu voulais réfléchir a ce que tu ferais de ta vie. Tu n’en savais rien en fait, un compagnon ? Non, jamais de la vie. Les mâles sont trop étranges et idiot. Toujours en train de se plaindre où d’essayer d’avoir de pauvres femelles. En les manipulant, en leur promettant un bel avenir mais au final rien. Tu ne connais certes pas sa, mais tu connais des personnes qui se sont fait avoirs.
Enfin que dire de plus sur ces machos idiots qui se pensent beaux alors qu’ils sont moches ? Quoi que, ils ne sont pas tous moches. Tu le penses, tu ne peux en être sur, tu ne connais pas tous les loups du monde.. Tu marchais sur les terres des Rubis que tu commençaient a connaître par cœur, tu étais la bêta .. Tu avais beaucoup plus de devoirs a présent. Que penserais ton père Météor et ta mère Shaya en apprenant que tu étais la bêta des rubis ? Comment le savoir, cela faisait longtemps que tu ne les avais pas vu ..
Il te manquait affreusement mais bon, tu ne pouvais rien faire à part continuer d’avancer, tu ne pouvais rien faire d’autres. Et tu étais certaines qu’il souhaiterait que tu continues ta vie avec où sans eux ! Ce n’était pas pour autant que tu les virais de ton cœur, ils y seraient toujours, car ils t’ont quand même pris sous leur patte, nourri et éduquer alors que tu n’étais qu’une petite loupiote orpheline. Tu y pensais sans arrêt, et tu espérais qu’ils seraient fiers de toi.
Mais en fait, où étais tu après en ? Tu avais laissé tes pattes te guidé, mais maintenant où étais tu. En humant l’air tu grognais, tu reconnaitrais l’air de ces terres entre mille. C’était l’odeur des Opales.. Tu savais qu’après en tu étais en danger. Car même si tu étais une rubis, tu n’étais pas comme eux, pas du tout même. Tu n’aimais pas te battre, et avoir des ennuis. Oh et puis zut tu n’avais pas peur. Non, jamais tu n’aurais peur de ces loups ! Même s’ils étaient plus horrible les uns que les autres. Tu ne pouvais rien faire, après tout ils étaient comme leur chef, enfin leur ancien chef. Maintenant il a changé, c’est l’un de ses petits enfants qui est né d’Inti et d’une mère inconnue en compagnie de son frère jumeau Paradox.
Et oui, tu en savais des choses, toi la louve qui te faisait remarquer à embêter le dominant Rubis, mais que pouvais-tu y faire ? Tu ne pouvais changer. Même si normalement, tu étais une louve plutôt sereine qui aimait le calme. En réalité, tu n’as jamais été véritablement toi-même. Mais tu n’arrivais pas a l’être, tu avais si peur de la réaction des autres que tu devenais toujours la personne qu’ils aimeraient où pas que tu sois. Tout dépend de qui est en face de toi.
Pour le moment ce qu’il y avait en face de toi était une colline, tu la voyais mal puisque c’était la nuit mais tu arrivais à reconnaître la colline aux marmottes. C’était là que chassaient les loups opales, enfin la plupart. Tu n’en savais pas plus, après tout tu n’étais pas opale et aucuns loups de ta famille n’en faisaient partie. Enfin bref. Qu’avais tu d’autre a raconté ? Rien, enfin normalement.
Tu avais pensé toute la nuit, le soleil était déjà en train de se lever. Tu n’avais rien vu venir, ça avait été bien trop rapide. Mais au moins tu vis beaucoup mieux la colline qui était vraiment très belle, tu entrepris de l’escalader pour voir la vue qu’il y aurait. Après tout, tu pensais qu’il n’y aurait personne à cette heure ci. Tu arrivais rapidement en haut et regardait la belle vu qui s’y présentait. Tu souriais car elle était magnifique et tu t’y sentais bien, tu pouvais te détendre, en pensant que tu ne te ferais pas dérangé. Tu étais allongé sur l’un des coté a regardé le soleil se lever.
Sans remarqué qu’il y avait un autre canidé sur cette colline, tu ne sentais pas qu’il s’était relever et d’un bond puissant attrapait une marmotte entre ses crocs. Jusqu’à qu’il y eu un cri strident avant de ne plus rien avoir. Tu sursautais et te retournais rapidement en regardant fixement le loup qui se présentait à toi. Les sifflements des autres marmottes avaient cessés, elles observaient le grand loup. On pouvait voir dans son regard de la peur mais aussi un peu de colère. Tu ne dis rien et continuais de regardé ce loup que tu ne connaissais pas mais qui avait l’odeur des opales .. T’avait-il remarqué ?

Sa y est, tu es enfin parvenu à arracher la peau pour atteindre la chaire. Tu t'en lèche les babines, impatient de savourer cette délicieuse viande. Ta tête se relève pour regarder les petits, qui te fixe manger l'un de leur parent. Tes yeux bleus, dérivent sur une autre silhouette, bien plus imposante que celles des marmottes. Une louve est là, pas loin de toi, elle te fixes. Qu'à t-elle à te regarder ainsi ? Tu renifles l'air, en quête de son odeur. Une fois que celle-ci arrive à toi, tu plaque tes oreilles en arrière et te met alors à grogner, de manière agressive. Une étrangère, là à quelques mètres de toi. En tant qu'assassin, il est de ton devoir de la tuer. Ou au moins la chasser d'ici. Si tu ne le fais pas, tu risques de te faire passer pour un lâche, ou un faible fainéant. Pourtant tu ne veux pas abandonner ton repas, tu n'as rien mangé depuis hier au petit matin. Tu as faim et tu redoute, qu'un loup te vole ta proie, pendant que tu seras occupé à chasser cette étrangère. Oh, tu es un grand tueur, même si l'on te vole ta proie, tu es capable d'en trouver une autre. Tu te relèves alors, toujours de ton air menaçant, grognant encore. Tu t'approches de la louve avec ta démarche si calme. Tu te tiens droit et fier, te donnant l'air encore plus menaçant. Au fond de toi, tu le sais, elle ne va pas te rendre la tâche facile. Dans son regarde tu arrives à voir, qu'elle n'est pas du genre à se mettre en position de soumission. Tant mieux non ? Elle va rendre les choses plus intéressante, tu vas réellement pouvoir te battre. Cleithos, tu espères seulement ne pas te tromper sur son comptes. Tu meurs d'envie qu'elle t'attaque la première pour se défendre, histoire que tu sois d'autant plus énerver. Que la haine et l'envi de la tuer s'augmente et qu'ainsi, tu fasses un réel massacre de son corps.
Tu es à présent devant elle, tes yeux océan dans ses yeux de soleil. Pendant un cours instant, tu t'arrêtes de grogner et tu te perds dans son regard fait d'or. Durant l'espace de quelques minutes, tu ne fais rien, tu ne dis rien. Un silence se fait entre vous, jusqu'à ce que tu reprennes tes esprits et te remette à grogner. Mais qu'est-ce qu'il vient de se passer à l'instant ? Tu ne sais pas, tu sais juste que c'était étrange. Cela à eut pour effet de te stopper dans ton intimidation, tu décides alors de faire autrement...

_" Je te conseils de quitter les lieux rapidement. Je te laisse le temps, que je finisses mon repas pour déguerpir. Si tu es encore là, alors je n'aurai aucunes pitié."

Lui faisant dos, tu retournes à ton cadavre et reprend ton repas. Arrachant des morceaux de chaires, brisant quelques os, et laissant de côté les boyaux.

Alors que tu mangeais tranquillement, sans ne plus penser à cette louve. Celle-ci vint s'asseoir non loin de toi, ou plutôt de ta nourriture. Instinctivement tu te remis à grogner. Mais cette fois bien plus fort, bien plus menaçant que tout à l'heure. Elle se fichait de toi, elle te provoquait ouvertement. Chose que tu détestes, surtout lorsque l'ennemi n'est pas sur son territoire. Tu penses sa mais, toi aussi tu aimes provoquer lorsque tu es sur des territoires ennemis. Mais enfin, toi c'est toi ! Tu as le droit de tout faire toi, pas vrai ? Tes yeux se relève et dévisage l'étrangère. Pourquoi fallait-il qu'elle soit tomber sur toi ? C'était maintenant ton devoir de la chasser, toi, qui pourtant ta sale réputation au sein de la meute, la protégeait loyalement. Tu lui avais laissé le temps de ton repas pour quitter les lieux. Avec son agissement, tu avais changé d'avis. Les restes de la marmottes, tu les abandonna pour te relever et d'un bond agile, sauter sur cette femelle agaçante. Qu'allais-tu lui faire ? Lui faire du mal sans pour autant la blesser ? La blessée grièvement, ou directement la tuer ? Tu n'étais pas assez emplit de haine pour la tuer, le blesser légèrement devrait alors suffire ? Mais vu son comportement inconscient, et son insolence, tu savais pertinemment que cela ne suffirait pas. Cela ne fera que lui montrer que tu n'hésitera pas à aller plus loin.
Ta mâchoire c'est ouverte, pour ensuite se refermer sur son encolure. Tes crocs se sont plantés à l'intérieur de sa chaire, mais sans trop s'y enfoncer. C'est juste des petites égratignures, pour lui faire un peu de mal, et l'avertir que tu n'étais pas du genre à plaisanter.

Ton bond si puissant, vous à projetés en arrière, et tout deux, ensembles aviez dévaler la colline en roulade. Durant cette descente mouvementé, tu n'avais pas relâché cette encolure, plutôt puissante pour celle d'une femelle. C'est un rocher qui vous à freiné dans cet élan, et c'est ton dos qui l'a alors percuté. Sur le coup tu as mal mais tu ne montres rien, immobilisant toujours cette louve, qui te rend fou de rage. C'est alors au bout de plusieurs minutes que tu te retires. Malgré le coup reçu, tu ne boite pas ou autre. La colère l'emporte sur la douleur et tu ne ressens plus rien...

_" À présent déserte les lieux, Rubis. Il n'en serait que plus sage !"

Tu claques de la mâchoire, montrant aussi les crocs et ne cessant de grogner. Peu à peu, tes pulsions d'assassin s'accentuent. Toi qui étais si calme, toi qui pensait passer une fin de nuit et un début de matinée paisible à manger. Te voilà en train de te faire gagner par la haine, ayant dévalé une colline et face à un adversaire. Tu ne voulais qu'une chose, en finir rapidement avec elle, pour retourner à ton train de vie quotidien.

Malgré tes airs si menaçant, malgré que tu lui es fais dévaler une colline. Tous sa n'avait l'air de servir à rien, elle parlait face à toi et t'avouais qu'elle ne comptait pas partir. Cela te faisais bouillir de l'intérieur. De plus, elle se portant volontaire pour soigner ta blessures. Elle aussi, avait entendu ce terrible "boum" lorsque ton dos à heurter violemment ce rocher. Tu n'en avais que faire de son aide, première tu refusais l'aide de tout le monde. mais plus particulièrement lorsqu'il s'agit de l'aide ennemi. Elle en rajoutes en inventant qu'elle ne voulait pas te déranger durant ton repas, menteuse, lorsque tu t'assois à côté de quelqu'un qui mange et que tu le regarde avec un sourire en coin. Sa s'appel déranger ! Elle se foutait de ta tronche en plus non !? Tous cela t'énervais de plus en plus. tes grondements s'intensifie et ton regard si beau, devient si dure et si agressif.

_" Je vais t'en donner moi des connaissances pauvre idiote!!"

Alors que tu t'apprêtais à lui bondir dessus, une douce odeur arrive à tes narines. Quel est ce doux parfum, si enivrant? Il captive toute ton attention, au point même d'en oublier la présence de la rubis. Oublier que tu allais l'attaquer pour lui retirer son souffle de vie. Tu hume l'air, encore et encore cherchant la source de ce doux parfum. Quel en fût cette surprise, lorsque tu te rends comptes qu'elle vient de cette louve que tu détestes tant et qui t'énerves au plus au point. Pourtant, tous ça, ne rivalise pas avec l'envie de l'approcher. C'est ce que tu fais, tu lui tournes autours, humant toujours l'air. Ton museau si froid, frôle ses flancs. Tu lui mordille doucement le cou, mais les flancs t'attirent particulièrement. C'est alors que tu réalises ce qui se passe, les chaleurs. Cette louve était en pleine période de reproduction et elle se pavanait sur des territoires ennemis !? Il lui manquait plus d'une case c'était pas possible, vraiment inconsciente !! Tu te recules alors, et tente d'être le plus menaçant possible, il faut qu'elle parte! Tu ne tiens pas à aller trop loin avec elle, encore moins avoir une quelconque progéniture avec une ennemie. Tu l'attaques alors au cou, lui infligeant des petites blessure superficielles, mais montrant que tu peux réellement être méchant.

_" Fiche le camp de ce territoire maintenant! Ma patience à des limites! Si tu refuses, alors cette fois je ne t'épargnerai pas Rubis!"

Durant tes menaces, et en l'attente de sa réponse, tu luttes au fond de toi. Tu lutte contre cette odeur si alléchante, cette envie de mâle. Il faut qu'elle parte, tu ne vas pas tenir bien longtemps.

Elle ne dit rien, elle reste de marbre. Non mais vraiment ! Il est temps de la faire déguerpir de force! Tu essai de faire abstraction de l'odeur enivrante, et tu lui bondis dessus. Commençant à saisir son encolure pour lui infliger une blessure dès plus terrible! Mais encore une fois, tu es tout près d'elle, bien trop près. L'odeur est là, bien forte, il en est impossible d'oublier sa présence. Toujours avec l'encolure dans la gueule, tu ne bouges plus et ne fais rien. La louve elle, ne réagit toujours pas, ce comportement t'agaces, mais tu ne peux réagir. Que faire dans ces moments ? Cela faisait bien trop longtemps que ce parfums te chatouillais les sens. C'est dans l'instinct, tu ne peux pas lutter contre cela. Tu aurai préféré la faire fuir et reprendre ta petite vie normale. Tu aurai voulu ne jamais avoir croisé son chemin. Son inconscience t'entraîner dans une histoire qui allait certainement te poursuivre toute ta vie. Tu l'as détestais, qu'elle idiote franchement! Quand tu as tes chaleurs, tu t'isoles de tout le monde! Au pire des cas tu t'accouples avec un loup de ta meute! Pourquoi tu viens sur des territoires ennemis, veux-tu une progéniture qui sera rejeté de ta meute. Progéniture d'un père qu'ils ne verront jamais ! Ah! C'est peut-être sa tiens! Elle ne réagit pas aux attaques, ni même quand tu lui as sentis les flancs. C'est bien sa, elle est venu pour sa! Un accouplement avec un loup qu'elle ne connait pas, et Paf ! Elle se tire avec les petits et les gardes pour elle seule!
Quoi que...elle est jeune elle à bien le temps pour penser à sa. Mais réalise t-elle qu'elle est en chaleur au moins ? Tu es perdu, il y a tellement de supposition. Mais pourquoi tu te prends la tête mon beau Cleithos ? Monte lui dessus, fait ce que tu as à faire et tant pis pour elle! ne commence pas à t'adoucir pour une idiote inconsciente comme tu l'as dis ! Elle assumera et point barre!

Tu es si près en plus. Oui, tu garde son encolure entre tes crocs, sans pour autant les planter à l'intérieur de sa peau. Tu faufile le bas de ton corps derrière le sien. D'un geste ensuite, tu dérobes la douce innocence de cette femelle. Un moment de plaisir et puis finit...Tu descends et réalise ce que tu as fais. De ta vie de loup, tu n'aurai jamais pensé faire sa. Toi qui ne te voyais même pas avec une compagne voilà que tu venais d'abuser d'une louve innocente. Tu la regarde, ton regard est perdu. Puis tu reprends tes esprits et ton air cruel.

_" Je t'avais mis en garde..."

Puis tu lui fais dos et te retire de la colline. Laissant ton reste de repas derrière toi, et cette louve, qui peut-être, portera tes descendants. Que tu ne connaîtra jamais, et dont tu oubliera l'existence même avec le temps...