Bad...Wolf. Ce jour fut très chaud et très lourd pour Lune. On était que au printemps, et pourtant il avait la langue presque détaché de la gueule tellement que la chaleur était forte. Le jeune mâle c'était posé à l'ombre prêt d'un arbre. Même à l'ombre il faisait chaud, trop chaud. Lune se leva péniblement. Il semblerai que notre solitaire soit très paresseux dès que le soleil se pointe. Il tituba sous le soleil brulant, grommelant. Il ne savais pas tellement quoi faire aujourd'hui, Luciole lui avait dit de rester dans les terres libre, parce qu'il était punis. Punis ? Oui, pour avoir éclaboussé toute une ribambelle de sanglier, qui, par la suite c'était mis à courser Lune et Luciole. Lune était vraiment idiot, dans toute sa catégorie. Mais c'était un petit solitaire vraiment attachant. D'ailleurs, il arrêtais pas de crier ses jours ci, pour le faite qu'on l'appelle par son vrai nom : Khan. Comme Dastan n'avait rien d'autre à faire, il faisait passer son temps en appelant Lune ainsi. Bien sur, Lune étant bête rentrais dans son jeux et crisais, voir même jusqu'à se battre avec. Personne n'avait le droit d'appeler le petit solitaire ainsi. Seule sa mère en avait le droit, seulement elle, puisque c'était elle qui l'avait nommé ainsi. Mais depuis sa mort, Lune avait préféré se renommer comme la dame d'argent, reine de la nuit. D'ailleurs son nouveau nom ne lui déplaisait pas du tout, il préférait même Lune à Khan. Bizarre non ? Mais quand son nom sortais de la bouche de sa familel sa sonnais faux. Mais quand sa sortais autrefois de la bouche de sa mère, la, oui la, sa sonnais vraiment vrai. Lune s'arrêta de rêver un cour instant.

Comme son père, il était très tête en l'air et se laissais facilement emporter par ses propres pensés. Voir même ses rêve parfois. La dernière fois il c'est pas surpris à rêver de biche alors que son frère lui parlais, enfin, pas si surprenant que sa. Le pauvre Dastan se retrouvait à parler dans le vide. Lune c'était même dit qu'il aurait pu parler à un mur, il lui aurait peu être répondu et foutu la paix au jeune loup. Lune s'engagea alors dans un chemin, il ne savait pas tellement ou il allait, mais il allait et comptais même désobéir à son père. Seulement, le retour risquerai d'être plus pénible, voir même dangereux. Mais Lune n'était pas en meute, alors les régles il s'en foutait. Comme bon nombre de chose d'ailleurs. Lune était aussi un grand '' je l'en foutisme'' m'étant des vents à des loups quand il s'en fou. Bien sur, quelque fois des scéne était comique entre son frère et lui, Dastan lui dit je m'en fou, et quelque minute après c'est Lune qui le dit. C'est des scénes très comique et rare qu'il ne faut jamais manquer. Lune sentit une étrange odeur, un peu sucré, trop sucré. Cette odeur était les saphirs, oui il les reconnaissait, le jeune loup leva les oreilles et fixa soudainement les buissons à coter de lui. Les broussailles se mit soudainement à bouger, pour laisser apparaître une sombre silhouette à quatre sabots, des défenses énorme et menaçante. Lune racla sa gorge bruyamment. Apparemment le sanglier d'autrefois n'avait pas oublié le visage de Lune. Le jeune loup brun se mit alors à courir pour échapper ua sanglier, qui, chargeait et courrait aussi vite que Lune.

Lune déboula dans une vitesse folle dans tout les chemins possibles. Descendant des cotes, montant des cotes. Il essayait d'échapper à cette misérable bête qui ne l'avait en faite jamais quitté d'une semelle. Il faisait déjà assez chaud comme sa, mais le faite que Lune court réchauffais son corps et cela lui donnait encore plus chaud. Mais le moment n'étais pas au plaintes, car d'après de qu'il a déjà entendu dire, les sangliers son vraiment mortelles. De plus, celui ci était plus gros que le petit solitaire, il en ferait facilement son encas pour quatre heure. Lune continua de courir, commençant à être essoufflé et assoiffée. Il sentit l'odeur d'un cascade pas loin. Il la suivit tout en redoutant de vitesse. Dans son champs de visions apparu alors une énorme cascade qui s'écoulait dans une petit étang. Lune sauta à l'eau, plongeant dans les profondeur de l'étang. Lorsqu'il remonta à la surface, il recracha toute l'eau dans sa bouche et tourna sa tête pour apercevoir le sanglier fou de rage que sa proie soit partit. Le jeune solitaire étouffa un rire mesquin et se mit à nager vers l'autre rive. Lorsqu'il remonta, il s'ébroua, trempé. Il but quelque gorgé d'eau et releva la tête. Il n'avait plus chaud, l'eau l'avait complétement rafraichis. Lune tourna vivement la tête sur le coté pour apeçevoir une proie morte. Avec l'épidémie, Lune ne comptais pas gouter à cette proie. D'ailleurs, il n'étais pas charognard et préférais manger lui même ses propres proies. On ne sait jamais sur se qu'on pout tomber ! Le louvard baille et alla s'installer à l'ombre, prêt d'un arbre.