Pinky

Histoire

10 lignes minimum : Mon histoire, un récit écrit par les Hommes, ce qui restera toujours gravé dans ma mémoire. Lorsque je suis partie dans la forêt sombre, chez les Saphirs, je me trouvais hélas, dans une forêt. J’accourais dans l’obscurité, mon cœur battant à tout rompre. Je ne m’attendais bien évidement pas à tout ce qui c’était produit, bien sûr. Arrivant près d’un morceau de viande suspendu à un arbre par une corde bien solide, j’essayais de l’attraper. Mon estomac réclamait et je ne pouvais pas patienter plus longtemps. Je sautais dans tous les sens pour essayer d’arracher au moins un petit bout du morceau de viande, en vain. Un Homme arriva, un sac en mains et m’enferma dedans. Ils avaient tout préparé, leurs pièges pour m’attraper, et moi comme une débile je suis tombée dans le piège. Il me mit dans le sac qui était d’une matière bien trop solide pour moi. Je me débattais, j’avais trop peur d’étouffer ! Mais je m’étais endormie, quand la fatigue me tapait sur les nerfs. A mon réveil, je m’étais retrouvée dans une cabane en bois, attachée à une chaine avec trois bouts de viande de caribou dégueulasse et avec un bol d’eau. Je couinais, je ne savais pas du tout ce qu’il m’arrivait ! Mais au bout de quelques jours, j’en avais marre. Je sautais sur une chaise pour voir à travers la fenêtre ce qu’il se passait et vis quelques louveteaux s’entrainer, enfin plutôt être entrainés par les Hommes. Ils apprenaient à mordre des gants super solides, ils devaient peut-être apprendre à tuer. Alors un jour, un homme est venu dans le cabanon. Je grondais, mais lui avait plutôt l’air de se foutre de moi. Il essayait doucement de prendre la chaine pour m’amener dehors, mais là, je fis ma rebelle. Il prit la chaine, défaisait le nœud qui m’empêchais de m’échapper et me conduisit dehors. Mais lorsque la porte s’ouvrit, je m’empressai de quitter cette prison pour rejoindre la liberté. La chaine pendant à mon coup, elle trainait derrière moi et justement en parlant de ça, j’avais très peur qu’elle se bloque contre quelque chose, ou que l’homme la rattrape. Mais au final non, juste une petite course poursuite et je retrouvais alors la liberté. Des semaines je me retrouvais seule, face au désert, car le monde m’avait fui, et je perdais tous mes moyens. Jusqu’à ce que je retrouvais Ezio, en terres libres.

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