DevilPaillou. Vis chaque jour comme le dernier †
Avertissements : Messages : 166 Date d'inscription : 15/07/2013 Age : 25 Localisation : Là où jamais tu ne pourras me retrouver et danser avec moi.
| Sujet: Fiche personnelle || → Devil Lun 15 Juil - 18:02 | |
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- DEVIL -
→ Nom : Devil. → Âge : 7 ans. → Meute : Améthyste. → Grâde : Garde Royale. → Proches : Son frère, sa mère. Son Alpha.
→ Phobie : Son père. Il le revoit en rêve. Je ne sais pas si l'on peut appeler ça une phobie mais lorsqu'il rêve de ce loup, ça le met dans des états de rage et de terreur incontrôlables. → Met préféré : Caribou. → Couleur favorite : Rouge.
- Caractère:
Je n'aime pas décrire mon caractère. Je trouve ça inutile. Vous n'avez qu'à poser vos yeux sur moi sur le deviner. Ce n'est pas plus compliqué que ça. Enfin. Je suis insociable et sauvage. Un sourd pourrait l'entendre, un muet pourrait le dire et un aveugle pourrait le voir. Ça écorche les tympans, ça tords les cordes vocales et ça crève les yeux. Je ne suis pas vraiment connu pour me faire des potes et aller faire joujou et chasser des fourmis dans le sable. On ne peut pas dire que j'ai eu une enfance joyeuse, peut-être était-ce là mon problème, disaient certains loups de la Meute. N'avaient-ils peut-être pas entièrement tord, et je l'assumais. Je n'ai pas été gâté par la vie, mais toujours la tête haute, j'ai continué d'avancer. Je ne supporte pas de verser ne serait-ce qu'une larme en public. Mon visage est neutre et ne dévoile que ses réelles émotions le soir venu, où dans l'obscurité, on ne peut pas me déchiffrer. Je suis agressif et attaque moralement ou physiquement le premier loup qui se met en travers de mon chemin, me cherche ou me provoque. Avec tous ces défauts, l'on pourrait aisément croire que je suis un assassin et un loup déloyal mais c'est bien tout le contraire. J'ai surement un caractère incompréhensible et effrayant aux yeux de beaucoup, je n'en reste pas moins Devil, le vrai Devil, le loup loyal qui vendrait sa vie pour la Meute de l'Amétyste. Je ne tuerai jamais pour le plaisir, je ne suis pas un assassin. Juste un canidé au caractère bien à lui et à la tête culbutée par les morceaux de ma vie noirçit par mon enfance et par la mort de mon frère.
- Physique:
Je ne suis pas une couleur. Je ne suis pas une teinte. Je ne suis pas une ombre. Je ne suis pas la nuit. Je ne suis pas la mort. Je suis l'opposé du rêve. L'opposé de la neige. L'opposé de la vie. L'opposé de l'immaculé. L'opposé du clair. L'opposé du bonheur. L'opposé de tout et de rien en même temps. Mmh... Vous êtes tellement stupide qu'il faut tout vous expliquer. Mon pelage est de la même couleur que les ténèbres. Il est noir, la deuxième couleur inexistante que l'on rejette comme la peste. Je suis un peu comme le reste de l'incendie, le reste d'une catastrophe. Je suis la suie, la cendre du feu criminel. L'erreur même de la nature, la faute irréparable du ciel envers moi. Mais je ne pense pas m'attarder là dessus. Passons, ce n'est qu'un pelage après tout. Enfin, si, j'ai peut être une dernière chose à vous dire. Mon pelage. Il n'est pas vraiment noir partout. Je ne sais pas si on peut appeler ça une couleur en plus, mais bon. Mon dos. Il est barré de plusieurs cicatrices où mon poil n'a jamais su repousser comme avant. Oh, il y en a de nouveau. Mais il n'est pas doux. Il est... Rèche, dur, et trop fin pour cammoufler les bandes rosées par le temps qui me barrent le dos. Papa, je te tuerai... Mes yeux, sont d'un bleu turquoise saisissant mais lorsque je me mets en colère ou qu'il pleut, ils virent à un bleu toxique, très... Horrible et repoussant à voir. J'ai faillis en perdre un. Mais désormais, une cicatrice barre mon oeil gauche de haut en bas. Ces derniers sont peut-être, frois et glacials, mais ils n'en restent pas moins plus efficaces que ma propre voix. Je n'ai pas besoin de parler pour que les autres comprennent ce que je pense. Et je préfère ça, car la parole n'est pas ma chose préfèrée dans ce Monde. Je suis grand. Et musclé. Je sais me battre sans problème, mais ne saute pas très haut à cause d'une blessure à la hanche qui date et qui me restera à vie. La douleur se réveille parfois. Et dans ces moments là, j'ai envie de mourir.
- Histoire:
1.
La première fois où quelque chose m'amena à douter de l'amour de la vie fut un matin d'automne, où le vent soufflait et les feuilles tombaient silencieusement sur le sol de la forêt, le couvrant d'un épais manteau brun. Notre père nous avait emmenés, moi et Arksh, faire un tour sur le Territoire. Je ne m'étais douté de rien. Absolument de rien. Il nous avait emmené loin du Camp, trop loin à mon goût.
"Papa, tu n'as pas l'impression de nous emmener trop loin ? ..."
Mon frère n'avait rien dit, comme si il avait su ce qui nous attendait. Mon père n'avait prononçé aucun mot et mais je me souviens bien qu'il avait sorti ses griffes. J'avais nettement senti mon poil se hérisser sur mes épaules mais je n'avais rien fait. Je n'étais pas parti en courant. Pourtant... J'aurai du. Arrivés à destination, mon père m'avait attrapé par la peau du cou sans ménagement et m'avait posé brutalement sur une pierre.
"Allonges-toi. Tout de suite."
Sa voix, je ne l'avais pas reconnu. Elle était trop forte et trop sauvage pour bien que je me mette en tête que c'était bien mon père qui venait de m'avoir parlé sur ce ton. Je n'avais pas eu d'autre choix que d'obtempérer et c'est donc ce que j'ai fait. Arksh s'était tapi sur le sol, les yeux presque mouillés par les larmes. J'avais commencé à avoir peur et je me souviens bien que j'avais cette fois ci, vraiment voulu m'enfuir, lorsque j'avais vu mon père sortir d'avantage ses griffes et les faire crisser sur la pierre froide comme le marbre. Je n'avais pas su pourquoi, mais j'ai eu le réflexe de plonger mes prunelles bleues dans celles ors de mon frère et de lui faire comprendre un petit "Au revoir". L'instinc ? Je n'ai jamais su, mais une voix me chuchotait que le Devil joyeux et respirant la joie de vivre allait disparaitre à jamais dans quelques secondes. Mon frère avait bondi en avant, posant ses deux pattes blanches sur la pierre pour s'avancer et me chuchoter à l'oreille :
"Vis chaque jour comme le dernier. C'est ce que tu aurais du faire. Je ne savais pas que tu allais aussi y passer, petit frère..."
Je n'avais rien trouvé à répondre. Arksh s'est enlevé de la pierre au moment où les griffes de notre père avaient commencés à caresser la fourrure de mon dos. Mon frère m'avait lentement tourné le dos, yeux clos, le corps emplit de soubressauts d'impuissance et de désolation. Je n'avais rien comprit. Mon père ne me faisait pas mal. Il se contentait pour le moment de faire parcourir ses longues armes tranchantes le long de mon dos, sans plus ni moins. J'avais alors décidé de me concentrer sur mon frère, même si je ne le voyais que de dos. Ha... J'aurai du fermer les yeux et attendre la disparition de mon âme au lieu de diriger mon regard vers lui... Ça n'avait été qu'à ce moment que je remarquai les balafres sur le dos d'Arksh. Deux grosses formaient une croix entre ses omoplates et une troisième, petite, était placée au niveau de son bassin, du côté droit. Je ne les avaient pas remarquées d'ici là, pourquoi ? Tout simplement parce que je ne lui accordais pas plus d'attention que ça et que son poil avait assez repoussé pour qu'un coup d'oeil ne suffise à voir ces horribles marques. Mais, et notre mère ? Pourquoi n'avait-elle donc rien remarqué ? Le doute m'avait rongé mais je n'avais pas pu réflèchir plus au cas présent. Mes pensées avaient été interrompues par une douleur aïgue au niveau de ma nuque. Une griffe s'y était plantée. J'avais senti le sang couler du côté gauche de mon cou. En me "tordant" les yeux dans tous les sens, j'avais entrevu la coulée écarlate qui s'était installée le long de mon poil et sur la pierre. La griffe descendis le long de ma colonne vertébrale jusqu'au milieu de mon dos. Sur le coup, je n'avais rien senti. Une seconde après que mon père ai enlevé sa griffe tâchée du sang de son propre fils, une chaleur époustouflante m'avait traversé et la douleur devint insoutenable. Mes griffes s'étaient plantées dans la roche pendant que je me mordais la langue pour ne pas hurler à l'agonie. Mon père avait attendu quelques minutes, me laissant souffrir le martyre avant de lever une patte griffue et de l'abattre sur mon dos. Une giclée de sang avait sauté pour atterrir sur le museau du loup entrain de me battre. Trois marques avaient désormais prit place sur ma première balafre. La première allait surement me laisser une marque pendant des mois mais la seconde aura vite disparu. Il avait rentré ses griffes et s'était écarté pour me dire ceci :
"Pour aujourd'hui, ce sera tout mon petit Devil. Je te donnais juste un avant-gout de ce qu'à subit ton frère pendant ces derniers mois."
J'avais tourné la tête, choqué par la tournure de la situation et anéanti par la douleur. Mon père m'envoya hors de la pierre d'un coup de patte et j'atterris pitoyablement aux pattes de mon grand frère qui m'avait regardé d'un air impuissant. Il s'était contenté de se pencher pour lécher mes blessures et me murmurer un "désolé" lourd de chagrin. Alors que mon père allait nous laisser, moi baignant dans mon sang, Arksh me soignant du mieux qu'il pouvait, il se retourna pour revenir vers moi. A ce moment, la peur m'avait englouti. J'avais eu si peur qu'il se remette à me battre... Mais non. Il avait juste sorti une griffe pour me soulever le menton et m'expliquer la chose.
"J'allais oublier que tu es nouveau dans le domaine cher Devil. Sâche que si tu dis quoi que ce soit, je le saurai, d'une manière ou d'une autre. Et avant que l'on m'exile ou que l'on m'execute, je te tuerai, toi et Arksh. Et sans aucune pitié, soit tranquille. Alors soit gentil petit Devil et laisse-moi t'inventer une somptueuse excuse que tout le monde gobera sans la moindre hésitation."
Que pouvais-je faire à part hocher la tête ?
"Arksh ? Demain c'est ton tour, trésor."
Je n'en revenais pas. Et il osait toujours nous appeler par les surnoms préférés de notre mère ? Et il venait aussi de dire qu'il avait faire souffrir mon frère le lendemain. Du coin de l'oeil, j'avais vu mon frère stopper ses coups de langue sur mon dos et ses yeux se remplirent de larmes qui coulèrent sur ses joues. Il se mit à trembler et à baisser la tête. Malgré la douleur, une sourde colère m'avait prit. Je m'étais levé brusquement pour faire face à mon père. Je suis si stupide...
"Tu ne toucheras pas mon frère une fois de plus tant que je serai là... !"
Comment un louveteau pouvait-il avoir le cran de se dresser ainsi devant son père ? Je n'ai jamais su ce qui m'était vraiment passé par la tête ce jour là. Mais j'ai récolté ce que j'avais semé. Et même plus. Je n'ai même pas eu le temps de comprendre ce qui m'arrivait. Des griffes m'arrivèrent sur l'oeil gauche et je le fermai juste à temps pour ne pas devenir borgne. A cet instant, j'ai su que je serai à vie, marqué d'une balafre qui me trancherait le dessus et le dessous de l'oeil gauche de façon verticale...
2.
Désormais depuis 8 mois, une fois par mois, notre père m'emmenait, moi et mon frère, dans les bois, pour nous faire subir des douleurs atroces. Le temps passant, j'avais comprit plusieurs chose. Ma mère ne nous faisait pas de remarques sur nos blessures tout simplement parce qu'elle avait subi la même chose, 3 ans avant notre naissance. Notre père avait arrêté de la battre le jour de note mise au monde. D'ailleurs, notre mère, affaiblie par ses blessures, avait faillit perdre la vie pour nous donner la notre. Mais elle s'en ai sorti. Mon père ressortait toujours la même excuse pour ma mère : "elle s'est faite attaqué par un renard" ou "elle est tombée dans des orties." Et ça fonctionnait... Pour nous, il disait d'autre chose. "Ils se sont battu, je suis arrivé juste à temps", "ils sont tombés ensembles dans un ravin plein de roches pointues, pauvres petits", et ça marchait aussi bien que le temps de ma mère... Désormais, tout le monde faisait en sorte de nous éloigner le plus possible, moi et Arksh, pour ne pas que l'on s'entretue. Alors que l'on ne s'était jamais fait mal...
Nous sommes en début de mois... Début d'une nouvelle souffrance. Inutile de vous redire encore et encore le début. Notre père nous a entrainé dans la forêt et m'a allongé sur une pierre. Il avait toujours commencé par moi. Surement parce que je suis le cadet. Il me fit endurer les souffrances habituelles avant de me faire tomber sur le sol, le pelage et la peau du dos déchiré. Il s'en est ensuite prit à mon frère. Je n'avais pas cru que c'était la dernière fois que je le voyais respirer... Cette fois, mon père n'avait pas sorti ses griffes. Il avait relevé ses babines pour dévoiler deux rangées de crocs redoutablement aiguisés à faire froid dans le dos. Il n'avait même pas prit la peine de me dire ce qui attendait mon frère. Il planta ses crocs dans la nuque d'Arksh et la lui brisa d'un mouvement de tête. Ma réaction avait été d'abord de fermer les yeux. Je n'y croyais pas. Jusqu'ici, il nous avait fait souffrir. Mais jamais je n'aurai cru qu'il finirait par nous tuer. Mon père avait jeté le cadavre de son fils dans un buisson et avait planté son regard dans le mien.
"Je dirais qu'il est tombé dans un ravin et qu'il a mal atterrit. Mort la nuque brisée. C'est crédible, tu ne trouves pas Devil ? Garde en tête que le mois prochain, tu rejoindras ton frère..."
J'avais tout de suite comprit... Il allait me tuer. Je m'étais plaqué au sol, horrifié. Mais je ne pouvais rien faire. Il m'avait ensuite ordonné de filer au Camp et de dire que j'étais tombé sur un renard avec mon frère. Mon frère est tombé et s'est brisé la nuque et moi, je me suis fait gravement blessé par le renard. Et c'est avec horreur que j'avais nettement su que son excuse était crédible. Je n'ai pas eu d'autre choix que de l'écouter. J'avais obéit. J'ai tout dit. Et tout le Monde m'a cru. On m'avait soigné. Et j'ai récupéré. Deux semaines après la mort de mon frère, mon père entraina ma mère dans la forêt, sous mes yeux. Il ne me demanda pas de les suivres. Mais je savais exactement ce qu'il allait faire. Ce que je ne comprenais pas, c'était pourquoi il se remettait à la faire souffrir alors qu'il avait arrêté. Peut-être était-il en manque de souffre-douleur ? Quatre heures avaient passées avant que mon père revienne... Seul. Il clama haut et à qui veut l'entendre que ma mère était tombé d'une falaise et s'était écrasée au fond des gorges. La Meute la retrouva la nuque brisée. Comme mon frère. L'on décida alors de dire que ma famille était maudite. Et cela n'était que vrai aux yeux des autres... Je souffrais chaque jour. Je pleurais, je le maudissais. Jusqu'au jour où le début du mois suivant arriva...
Je ne pouvais rien faire pour retarder la sentance. J'étais désormais seul, sans aide ni personne qui subissait les mêmes choses que moi. Des trois loups que mon père battaient, j'étais le dernier survivant. J'attendais, assis devant un buisson dans le Camp, que mon père rentre de sa chasse nocture pour mettre fin à mes jours. Sauf qu'il n'est jamais rentré. On l'a cherché. Ce ne fut que 2 jours plus tard que l'on retrouva son corps, au bord d'un ruissea, le museau trempant dans l'eau. Sa gorge était ouverte. On l'avait ramené au Camp pour que les Druides l'examine. Ils en conclurent avec stupéfiance que mon père s'était lui même ouvert la jugulaire. Il s'était suicidé... Avant d'en finir avec moi. Je n'ai jamais vraiment comprit pourquoi, mais j'avais été triste. Triste, oui triste. Il avait beau m'avoir persécuté et détruit ma vie, il restait mon père...
La plupart des cicatrices que m'avait affligé le loup de même sang que moi avaient finies par disparaitre mais quatre d'entre elles dont la première qu'il m'avait donné et trois autres assez profondes allaient rester pendant plus d'un an. Quant à celle que j'avais sur l'oeil gauche, elle me marquera à vie.
Le temps avait fini par passer. J'ai grandi en force et en assurance, je suis devenue un membre de la garde royale et j'ai apprit à me méfier de tout, commençant par une goutte pluie pour finir à un Alpha de Meute. Quiconque me posait une question sur mes cicatrices et mon passé se voyait recevoir une belle raclée morale. Je n'aime pas faire copin-copin avec les autres et reste presque toujours à l'écart du reste de la Meute. Le seul loup dont je me sens proche à présent, c'est mon Alpha. Je serai toujours là pour [nom du futur Alpha, les votes ne sont pas terminés à ce que j'ai pu voir] et je livrerai ma vie pour lui/elle. Pourquoi ? Tout simplement parce que c'est le/la loup/louve qui s'occupe de la Meute et même si les bons souvenirs au sein de cette tribu de canidés sont aussi rares que la neige en plein été, je mourrai pour elle...
Devil est un loup noir aux yeux bleus de la Meute des Améthystes. Il est âgé de seulement 7 ans et a pourtant perdu tous les membres de sa famille. Il a plusieurs cicatrices sur le dos et une sur l'oeil, toutes infligées par son propre père. Sa mère et son frère ont été assassinés de sang-froid par son père et Devil a échappé à la mort de justesse. A cette époque, il n'avait que 8 mois.
Arksh est le frère de Devil. C'est un mâle blanc comme la neige aux prunelles d'un or limpide, âgé de 9 ans. Nombreuses cicatrices visibles sur son dos. Il a été assassiné par son père qui lui a brisé la nuque à seulement 2 ans.
Athéna est la mère de Devil et d'Arksh. C'est une grande et fine louve brune aux yeux noisettes, âgée de 5 ans quand elle est morte, tuée par son compagnon. Elle a faillit mourir lors de la mise bas de ses deux petits.
Karh est surement le loup le plus détesté de sa famille. C'est lui même en personne qui a assassiné son fils et sa compagne et qui a détruit la vie de son deuxième fils, plus petit que le premier. Il a fait subir d'atroces souffrances à sa famille et battait ses fils une fois par mois avant de tuer l'ainé et sa compagne. Il se suicida avant de mettre fin à la vie d'Arksh.
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