la chaleur etait ettoufante, penible a supporter, le poil lui collait sur le dos le ventre et la tete. son regard etait reluisant, globuleux, temoignant dune fatigue douloureuse qui lui tenait au ventre comme un rapace. de leau, tout ce quil voulait, cetait de leau, et un coin dombre afin de se reposer tranquille. avec un pelage noir sur des terre ou la temperature a lombre atteignait un niveau tout a fait ridicule, il navait dautre choix que de se trouver un coin calme sinon il en laisserait sa vie. la chaleur lui avait fait perdre la tete. il marmonnait des juron enver la terre entiere, il voulait que tous creve sauf lui, quil souffrait, quils allait tous payer... mais qui? tout ca etait bien flou.
parfois, il riait a en perdre haleine et trente seconde plus tard, seffondrait sur le sable chaud, la langue pendante et les yeux mi clos, en train de demander pardon a dieu. lui qui ne croyait pas en dieu se faisait honte, il se traitait de tout les nom avait de recommencer a marcher. il trainait sa lourde carcasse de nain, hurlait lorsquil apercevait un miracle. puis il seffondra pour de bon.

Lorsquil se reveilla, il etait toujours au milieu du desert, mais une ombre cachait le soleil. des oreille, un museau et du poil: un autre loup. meme dans cette situation peu avantageuse, il montra les crocs, plein de sable et de pourriture, setant nourri dun cadavre pas frais avant de venir dans le desert.

« si vous etes la pour me regarder mourir bah degagez... ya rien a voir! » dit il de sa voix grave.

Le jour se réveil sur notre astre, alors que la nuit laisse ça place à celui-ci. Le degré ? Il fait pas bien chaud par ici, vaut mieux être quelque part au chaud, reste à savoir où. Bref, le temps n'est pas bien bleu mais peut être des averses par ici et par là. Gaïa se réveille par de léger coup de vent, froid et rapide. « Boooon.... » , pensa-t-elle. La louve s'étira pendant un petit moment, jusqu'à qu'elle se tourna et croisa des loups de cette meute qu'elle considérais comme sa famille. Mais de quelque canidé, la fixa par hasard par de visage peut commun, pas de sourir, mais d'être troublé par elle. Que dire sur eux ? Simplement qu'ils ne sont que des inconscients. Maintenant, la louve venait de sortir d'un gîte, partagé avec d'autre loups et louves. Elle est sortis seule, étant donnée qu'elle est l'une des seules qui s'est réveillé à cette heure. Le canidé était donc partis de son gîte et est partis vers la partis de chasse, étant donnée qu'elle n'a pas mangée depuis quelque jours.

Gaïa est partis dans les terres libre, où elle pourrait être au calme et chasser en paix, mais il n'y a pas beaucoup de mammifères a chasser. Mais en tous cas, il fait chaud. C'est ce qui compte pour la louve. Cherchant son gouté et en parcourant des mètres et de mètres, elle ne trouva que des os de scorpion, mais que dire dessus ? Elle ne va tous de même pas manger et mâchouiller ça. Enfin, à la place de trouver un casse croute à ce mettre sous la dent, elle trouva un loup complètement couché, éxténuer ou alors il avait chercher un mammifère mais n'avait pas trouvé. La louve se dirigeais vers le canidé couché sur le sable rouge, tous en cachant le soleil, mais apparament il n'est pas accueillant par cette voix très grave. Mais là, comme à son habitude, la louve lui dit d'une voix qu'elle avait toujours eux, une voix agressive et tous en soufflant péniblement :

« Ahlala, de nos jours vous n'êtes plus accueillant ... Tu n'as au moins pas bu depuis quelque jours que l'on dirait un cadavre qui voudrait en finir. »

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