Un jour de brume, dans le cimetière, s’avance un grand loup noir entre les mausolées des anciens. Il les examine toutes, pensif.

* Pour quoi on n’avait pas pu faire de même… Ah cause des autres…Oui à cause d’eux…*

Nagash s’enfonce un peu plus dans le lieu de recueillement. Après s’être installé à côté d’un tombeau couvert de fleurs rouge sangs. Il s’emplit les poumons de l’air lugubre de l’emplacement et entamât un hurlement, un chant, une ode à tous ceux qui avaient quitté les terres de Wolf Temporal.

*Pour lui aussi ce chant est destiné… Lui arrivera-t-il ?... Bien sûr il entendra, il entendait toujours…*

La fin de la complainte venu, Nagash eu l’impression que quelque chose se rapprocher mais il ne pouvait en avoir la certitude à cause du brouillard qui s’épaississait toujours. Il se releva donc et attendit que la forme se précise pour lancer un :

Prière à celui ou celle qui s’avance de s’identifier!

Kournous s'était perdu comme un imbécile dans cet endroit lugubre, de ca de là, on voyait un bout d'os qui sortait de la terre.

"Sérieusement, nan mais qu'es ce que je fous là ? Y a rien absolument rien" grogna le loup entre ses crocs [color=red] "En plus, y a une sérieuse odeur de charogne qui s'élève d'ici..."

En effet une odeur plutôt désagréable et portée par le vent sortait du charnier, une odeur...dérangeante, même pour un rubis qui adorait le sang. Alors qu'il déambulait au milieu des monticules de terre qui semblait des parodies de sépulture, il sentit une odeur différente que toutes celle qu'il avait sentit depuis qu'il se "promenait" dans cet endroit empestant la mort et la décomposition, une odeur de vivant. Intrigué de savoir quel est l'abruti qui se baladait....euuuh non pas l'abruti parque lui aussi était dans le Cimetière, mais plutôt l'imprudent, qui se trouvait non loin de Kournous. Ce dernier se tapit derrière une motte de terre et s'avança doucement, il était contre le vents, ce qui signifiait que l'autre ne pouvait le sentir, et il faisait assez sombre ici, malgré le soleil qui illuminait le ciel de ses rayons ardents. Kournous avançait prudemment, ce n'était pas le moment de tomber dans une embuscade, ni de tomber sur un de ces crétins d'ours. Il connaissait cet endroit, il savait à quoi il ressemblait malgré le temps, une voix lui disait...non, pas une voix, un instinct l'obligeait à rester couché. En avançant, il aperçu, a travers la fumée qui s'échappait de la terre, une silhouette, un loup robuste, qui hurlait à la mort. Kournous était curieusement attiré par cette silhouette, il s'approchait, sans faire attention de se cacher, il se redressa quand on lui dit :

[b] "Prière à celui ou celle qui s’avance de s’identifier !

Kournous ne se laissa pas démonter par le ton hautain que renait l'inconnu.

" Donnes moi ton nom, fouineur de cadavre, et je te donnerai le mien.

Ainsi, celui qui s’avance au-devant de Nagash était un loup, de la meute dis des « Rubis »

*franchement quelle idée bizarre de se nommer comme un caillou rouge…oui, mais sa leur va bien vu leur propension à la chasse au loup… Mais leur niveau mental général n’est pas bien haut*

Donnes moi ton nom, fouineur de cadavre, et je te donnerai le mien.

Nagash examine plus précisément, le membre des cailloux rouges qui venait de l’insulter.

*Grand… Vieux… Non, Jeune… violent mais réfléchie… Fort mais robustesse ?… Froid et feu… intéressant…*

Nagash décida que l’importun ne présentait pas de danger immédiat et qu’il était plutôt un simple curieux. Alors il se détendit et se rassit. Puis laissa passer un blanc tout en gardant une attitude de supériorité et y rajoutant du courroux style grand chef. Après d’interminable seconde, Nagash reprit la parole d’une voix à l’autorité naturelle et grave.

Mon jeune ami, savez-vous qu’émettre de tel insultes aux milieux des morts est de surcroit outragent qu’elle dérange leur repos éternel ? Je me nome Nagash, loup Solitaire de mon état, plus intègre que vous s’embler vouloir le supposer et qui fut surnommer par des loups bien plus honorable que lui-même La Force Tranquille.

Puis terminant d’un voix encore plus puissante, grave et pleine d’autorité.

A vous de vous présenter, jeune membre des « Rubis ».

Kournous regardait longuement le loup qui se dressait devant lui, il avait volontairement laissé un blanc après qu'il lui ai posé sa question...soit, parcqu'il réfléchissait, soit parce qu'il voulait se donner un genre...En tout cas, ce n'est pas en copiant sur ses propres mimiques, sur ces manies et ses habitude, que ce loup impressionnera Kournous. Intérieurement, il se disait que ce loup, bien qu'inconnu, pourrait lui être d'une grande aide, son calme apparent et sa manière de parler en ferait un écran parfait pour toutes sortes de manipulations.

Mon jeune ami, savez-vous qu’émettre de telles insultes au milieu des morts est de surcroit outrageant qu’elle dérange leur repos éternel ? Je me nomme Nagash, loup Solitaire de mon état, plus intègre que vous s’embler vouloir le supposer et qui fut surnommé par des loups bien plus honorable que lui-même La Force Tranquille.

En entendant ça, Kournous se demandait si c'était une blague...une énorme blague. Non mais c'est quoi cet air supérieur, cette façon de parler, une bouffée de rage prit le corps du jeune loup, une soudaine envie de faire la peau à ce prétentieux dévorait ses membres, il bandit ses muscles, prêt à donner l'impulsion qui précipiterai le loup vers les sépultures...si on peut appeler ça comme ça...Mais une petite vois lui dis "N’oublie pas où tu es" En effet, le cimetière était une des zones où les combats était proscrit, il fallait donc remettre la "Force tranquille" à sa place.

"Je me nomme Kournous, Traqueur de la meute des Rubis de mon état et appelé par des personnes bien antérieure à lui "La fin de la Raison". Et moi, je ne suis pas intègre du tout, aussi je vous conseille, Solitaire, de ne plus vous adresser à moi sur ce ton, sinon je ne donne par cher de vos restes, Le meute de rubis s'est toujours faite un plaisir de démembrer ceux qui perturbait ses membres."

Kournous savait qu'il ne lui avait pas vraiment fait peur, mais sauf si il était bête, il avait compris le message...ou autre hypothèse, il avait comme Kournous, un goût prononcé pour la provocation...Et ce dernier aimait bien les loups qui lui sont similaire en certains points. Le loup de Rubis attendit la réponse du Solitaire en braquant sur lui ses yeux jaune vif

Nagash écouta les propos du prénommé Kournous, celui-ci sembler avoir compris que seul il n’avait que de bien maigre chance de l’emporter sur le loup noir. Il alla jusqu’à invoquer la protection de sa meute.

*Les Cailloux rouges!... Ce n’est pas le moment pour ces âneries…*

Nagash se releva sans un bruit, secoua son pelage et s’approcha lentement de son vis-à-vis. Secouant sa « crinière » que ses poils hirsutes formaient autour de son cou. S’arrêtant à de 2 pas de Kournous, la distance d’un souffle, il fixa son regard dans les yeux jaunes mais sans y mettre une dureté propre à déclencher l’hostilité. Malgré tout, il s’agissait d’un regard pénétrant, un peu oppressant mais surtout hypnotique. Prenant une grande inspiration, les yeux de Nagash imposèrent clairement que les intimidations étaient vaines.

Votre Meute me tuerait si vous me cherchiez conflit et que vous perdriez ? Vous ne pouvaient pas vous berner de telles illusions, « messire » Kournous. Surtout chez les C ; Rubis, ils vous hueraient plutôt que vous venger. Reprenez vos menaces et dites à la place, la raison de votre venu en ce lieu de mort. Je crois savoir que vous possédez votre propre cimetière, n’es-ce pas ? Et surtout, que me voulez-vous, Traqueur rouge ?

Plus il voyait ce loup, moins il le supportait, nan mais pour qui se prend-il ? Son air prétentieux ne l'avait pas quitté depuis le début de la discussion et sentait peu à peu sa maigre patience lui échapper.

Bon, prenons un peu de recul, ce loup tente surement de me provoquer, et il semble ne pas craindre le meute, très bien, il verra.

Kournous décida de jouer le jeu de Nagash, il voulait un soumission du jeune loup, il l'aura...par contre, cela n sera que temporaire...les Traqueurs de Rubis sont partout, bien plus nombreux qu'il ne peut l'imaginer, lui tendre une embuscade sera une chose facile une fois qu'il arretera de se prendre pour le maître de la zone.

Votre Meute me tuerait si vous me cherchiez conflit et que vous perdriez ?

Je sais que certains Rubis vendrait terre et mer pour un peu de sang, peu importe les tenant et les aboutissants, ils ne veulent qu'une chose : se battre.

Vous ne pouvez pas vous berner de telles illusions, « messire » Kournous. Surtout chez les Rubis, ils vous hueraient plutôt que vous venger.

Vous seriez étonné de savoir ce que l'appel du sang peut faire chez nous... Dis le loup en souriant.

Reprenez vos menaces et dites à la place, la raison de votre venu en ce lieu de mort. Je crois savoir que vous possédez votre propre cimetière, n’es-ce pas ? Et surtout, que me voulez-vous, Traqueur rouge ? [b]

[b] Mes affaires ne vous intéressent pas, croyez moi. Et je n'ai pas de compte à rendre, surtout pas aux Solitaires, cependant, j vous retourne la question. Un vieil ami est mort ici, ou peut être un ennemi, que vous avez gardez ici pour dévorer la carcasse durant les temps de vache maigre ? Oh et puis vous savez, je m'en fiche, vous faites bien ce que vous voulez, du moment que cela ne gêne pas mes affaires.

Malgré le regard froid et intimidant du loup en face de lui, Kournous ne laissait rien transparaître de son agacement, même ses yeux ne reflétaient qu'un calme...tranquille...Bien qu'il bouillonnait de rage. Le loup de Rubis s'éloigna doucement de son homologue Solitaire.

D'accord, très bien, vous avez gagné, je me rend, je cherche le corps d'un de nos guerrier qui a disparu, ses états de services étant excellent, et son âge étant avancé, il est normal qu'Ulysse cherche à avoir des nouvelles

Nagah écouta les propos de Kournous en continuant a regarder fixement son vis-à-vis. Son regard était inquisiteur, il inspectait tout les mouvements infime des fenêtres de l’âme. Celle-ci malgré un calme feint, un léger élargissement des pupilles trahissait de fort sentiment interne tel que la colère ou la peur. En réfléchissant, il parut vite que la peur était improbable et que la rage de la rébellion plus certain que la simple colère.

D'accord, très bien, vous avez gagné, je me rend, je cherche le corps d'un de nos guerrier qui a disparu, ses états de services étant excellent, et son âge étant avancé, il est normal qu'Ulysse cherche à avoir des nouvelles

*Ainsi les cailloux rouges s’intéresse a leur troupes ?... Je le croie pas… Je trouve ca normal… Pourquoi il cherche au cimetière les guerriers ?... Mais ils sont civilisés… Non, ils ne sont pas !... Jamais, ils ne sont pas… Pas… Pas… Ressaisit moi !...*

Nagash relâcha la pression mental qu’exerçait son regard et recula d’un pas puis considérant le rubis dans son entièreté, il déclara d’une voix calme et profonde :

Voila une bien noble occupation ! Mais il semblerait que vous soyez perdu, a la vue du fait que vous êtes dans une des parties les anciennes du cimetière. Il me semble pas qu’aucune des tombes autour de nous ne soient issue de notre ère. Voir pour certaine même pas de la précédente. Si vous voulait je peux vous menez a la partie la plus récente. Je me promène souvent en ces lieux, ils me rappellent quelqu’un…

Nagash finissant sa phrase en diminuant le volume, se mit alors a regarder mélancoliquement le ciel.